En toute logique, c’est après m’être farci Gagner la guerre que j’ai attaqué Janua Vera, le premier bouquin de Jean-Philippe Jaworski, un recueil de nouvelles dans lequel on rencontre pour la première fois le ci-devant Benvenuto Gesufal, mais aussi pas mal d’autres personnages secondaires de Gagner la guerre. Ne m’étant pas fâché avec l’auteur depuis, je vous réfère à la chronique précédente pour le copinage potentiel.
L’ordre de lecture n’est au final pas très important; que l’on découvre le Vieux Royaume par l’un ou l’autre des ouvrages, je pense que ça ne change pas grand-chose. Soit on prend l’option “petit bain” et on commence en douceur, par des nouvelles raisonnablement courtes, soit on revient par ce biais dans l’univers jaworskien, par petites touches.