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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag Italie

Rhapsody of Fire: Dark Wings of Steel

Je pense que l’expression qui, pour moi, définit le mieux les albums de Rhapsody of Fire – à commencer par le dernier en date, Divine Wings of Steel – c’est “plaisir coupable”. Objectivement, le métal de l’ex-bande à Luca Turilli n’est pas très original, pas toujours très fin ni même très bon, mais il sonne juste à toute personne qui aime le métal symphonique, voire le métal tout court.

Australasia: Vertebra

Si je n’avais pas lu la petite explication qui est venue avec le service de presse de Vertebra, premier album du groupe italien de post-rock Australasia, j’aurais pu croire qu’il s’agissait précisément d’un groupe australien. Non seulement à cause du nom, mais aussi parce que le style du groupe me rappelle certains artistes similaires du pays des chapeaux en cuir.

Voir Naples (et éviter de mourir)

À l’heure où j’écris ces lignes, c’est-à-dire samedi après-midi, je viens de rentrer de quelques jours de vacances à Naples avec toute ma famille (on était quatre). Enfin, quand je dis “Naples”, il faut comprendre “la région de Naples”, parce que finalement, on n’est pas resté très longtemps dans la ville elle-même. Et, compte-tenu des circonstances, c’est probablement une bonne chose.

Amaze Knight: The Key

J’imagine que ce doit être de plus en plus difficile de se faire un nom dans la musique en général et dans le métal progressif en particulier. Pourtant, le groupe italien Amaze Knight propose, avec The Key, un album qui pourrait bien y contribuer.

Mytho: In The Abstract

Le rock progressif est un genre qui supporte assez mal la médiocrité; du coup, quand on tombe sur un album assez moyen, comme c’est le cas de ce In The Abstract du groupe italien Mytho (déjà, le nom n’est pas très heureux…), le chroniqueur est un peu embêté.

Höstsonaten: The Rhyme of the Ancient Mariner – Chapter One

Encore un album pioché chez Gibert le mois passé (je vous rassure: j’arrive au bout), The Rhyme of the Ancient Mariner – Chapter One, du groupe de rock progressif italien Höstsonaten, pose pour moi un grave problème: comment en parler sans le comparer à la version d’Iron Maiden?

SoulenginE: Mind Colours

Comme quoi tout arrive: ce Mind Colours, des Italiens de SoulenginE est une découverte enthousiasmante à mettre au crédit de Progarchives. Bon, je suis un peu méchant, mais mes derniers achats sur la recommandation de ce site s’étant souvent révélées décevantes, je me méfiais.

 

Mad Puppet: King Laurin and his Rosegarden

Bon, j’ai beau avoir daubé par deux fois cette semaine sur Prograchives et ses chroniques moubourratives, il m’arrive tout de même de découvrir par ce biais quelques pépites fort sympathiques, comme le groupe italien Mad Puppet, actif entre 1982 et 2001. Je vais vous parler ici de l’album King Laurin and his Rosegarden, mais sachez que toute leur discographie est disponible gratuitement sur leur site (italo-allemand et un peu toupourri).

Profusion: RewoTower

Parfois, j’ai l’impression que le petit monde du rock progressif est si clos que même une simple petite brise peut faire office d’un grand bol d’air frais. Dans le cas présent, la petite brise vient d’Italie et s’appelle RewoTower, le dernier album de Profusion.

Rhapsody: Ascending to Infinity

Il faut pas croire, mais quand je fais des chroniques d’album, je fais toujours quelques recherches. C’est d’ailleurs en regardant deux-trois trucs sur ce nouvel album de Rhapsody, intitulé Ascending to Infinity, que je me suis aperçu qu’il y a désormais deux Rhapsody et celui-ci est le seul, le vrai, l’unique avec Luca Turilli.

 

Lacuna Coil: Dark Adrenaline

Lacuna Coil et moi, c’est compliqué. Je suis en train d’écouter Dark Adrenaline et j’aime plutôt bien, mais le métal semi-progressif, tendance nu-métal, à deux voix du groupe italien a tendance à me lasser assez vite. 

Anima Morte: The Nightmare Becomes Reality

Anima Morte et son album The Nightmare Becomes Reality fait un rock progressif instrumental, qui suggère une ambiance façon musique de film d’horreur italien de la “grande époque”.

The Watch: Timeless

Il y a ceux, comme The Watch, qui déboulent avec leur dernier album Timeless directement d’un univers parallèle où on est en 1976 et Peter Gabriel n’a jamais quitté Genesis.

Le Orme: La via della seta

En voyant le titre de ce billet, j’entends déjà certains de mes confrères en progitude de balancer, sur un ton narquois, “c’est à c’t’heure-ci qu’t’arrives?”

Rhapsody of Fire: From Chaos to Eternity

Rhapsody of Fire, c’est comme qui dirait le petit plaisir semi-honteux, l’équivalent metal du pot de Nutella qu’on attaque tout seul à la cuillère juste parce que c’est bon. From Chaos to Eternity, leur dernier album, en est la parfaite illustration.

Il tempio delle clessidre

Je ne suis pas un grand fan du sous-genre dit “rock progressivo italiano” et qui désigne le style musical typique d’une pétée de groupes transalpins qui me sont tous plus inconnus les uns que les autres. Néanmoins, je me suis laissé tenter par le premier album éponyme de Il tempio delle clessidre.

NanowaR Of Steel: Into Gay Pride Ride

Cette chronique est consacrée à Into Gay Pride Ride, du groupe de metal le plus fidèle et le plus épique qui jamais ne fut, j’ai nommé NanowaR (Of Steel)!

Aucan au Romandie de Lausanne

Le groupe italien Aucan, c’est un peu Jekyll et Hyde : on les attend math-rock, les voici dubstep, on les croit électro aux albums qui baffent un peu et on les trouve électro qui baffe énormément en concert.

Aucan: Black Rainbow

La raison principale de cette chronique de Black Rainbow est que j’ai encore des souvenirs émus de l’album éponyme d’Aucan, groupe italien qui est passé en moins de deux ans du math-rock au dubstep, ce qui n’est pas vraiment mon style. Mais style ou pas, Aucan, ça poutre!

Atto IV: Shattered Lines

Atto IV est un groupe de rock progressif italien qui, si j’en juge par leur tout nouvel album Shattered Lines, fait dans le néo-prog moderne, le genre de musique avec de l’énergie par mégajoules, des compositions complexes et souvent déjantées. Du coup, on a droit à des soli de guitares agressives et de claviers débridés et, surtout, des compositions que n’hésitent que rarement à passer la barre des cinq minutes.

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