Il m’a fallu du temps, mais j’ai fini par boucler Le Pirate Sans Nom, le premier tome du Vaisseau ardent, de Jean-Claude Marguerite, intrigué par ce texte que l’auteur m’avait envoyé en service presse il y a maintenant un an.
C’est un peu dans le désordre que j’ai suivi le documentaire Juger Pétain, en quatre parties, diffusé sur la chaîne Planète+ il y a peu (ça nous change des brocanteurs et des ventes aux enchères). C’est dommage, mais ça n’ôte rien à l’intérêt de cette émission de Philippe Saada.
Il m’arrive de me rappeler que je suis historien et de plonger dans un livre traitant de l’Histoire. Récemment, ce fut Les inconnus de Versailles, de Jacques Levron, recommandé par Tristan Lhomme – excusez du peu! – sur le blog choral de Hugin & Munin.
Quand on lit un titre comme Invraisemblances et contradictions dans la Bible, de Gerald Messadié, soit on est un athée convaincu et on ricane sur le pléonasme, soit on est un croyant et on hurle au blasphème. Et si, comme moi, on est un peu entre les deux, tendance historien, disons qu’on fait un peu des deux aussi.
Now I Know, avant d’être ce petit bouquin signé Dan Lewis, que je viens de terminer, est une newsletter quotidienne consacrée à la culture générale, à la culture populaires et aux faits historiques peu connus – ce que les Américains appellent trivia.
En rédigeant il y a peu le billet sur Jack of All Trades, je me suis aperçu que je ne vous avais pas parlé de Sleepy Hollow. Ce n’est pas très malin, parce que cette série fantastique, vaguement inspirée par le film éponyme, mérite qu’on s’y intéresse.
Ce deuxième tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb, intitulé Mon retour en France parle beaucoup de retour et, au final, assez peu de France. Cette bande dessinée biographique de Jacques Tardi sur son père est une immersion dans le quotidien des prisonniers de guerre français dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale.
J’ai beau être marié et pour le moins heureux dans mon couple, l’article d’InternetActu 2040 : la fin du mariage m’est apparu comme salutaire sur un certain nombre de points qui semblent faire débat ces derniers temps. À commencer par le léger détail que le mariage et la famille « traditionnels » tels que nous les connaissons aujourd’hui sont, pour leur plus grande partie, une invention des conservateurs du XIXe siècle.
Quand j’étais môme, il nous est arrivé plusieurs fois de passer des vacances dans le sud de l’Espagne, en Andalousie. Vingt ans plus tard, je découvre, à l’université, l’histoire de la région au travers d’un séminaire sur l’Espagne musulmane; encore vingt ans – ou peu s’en faut – et je cède enfin au désir de redécouvrir ces lieux qui m’avaient si peu intéressés enfant.
Autour du premier avril, emboîtant le pas à une série de délires facebookiens de Romain d’Huissier, j’annonçais que j’allais, cette année, travailler sur un projet qui ne serait pas en rapport avec Tigres Volants. Rires dans l’assistance.
Quarante ans, ça fait une paye! Il était donc presque logique qu’un historien s’attache à retracer la genèse des jeux de rôles en général et de son Grand Ancêtre en particulier, j’ai nommé Dungeons & Dragons. Pour le coup, c’est Jon Peterson qui s’y colle, dans un ouvrage intitulé Playing at the World.
Je ne suis pas exactement ce que l’on pourrait appeler un fan des bouquins de guerre. Pourtant, si je vous parle de La Petite Guerre, signée Crixos, vous vous doutez bien que ce n’est pas de l’ouvrage banal, à base d’héroïsme viril, qui sent la sueur et la cordite. Bon, soyons honnête: y’en a aussi.
En cette année anniversaire, la lecture d’un ouvrage sur l’histoire de Donjons & Dragons s’imposait: c’est chose faite avec Of Dice and Men, du journaliste américain David Ewalt, qui prouve une fois de plus que le jeu de rôles mène à tout (y compris à travailler pour Forbes), même sans avoir forcément à en sortir.
Depuis quelques temps, au détour d’une discussion sur un autre forum uchroniques (celui de 1940, la France continue), je me suis mis à suivre le forum anglophone Alternate History, qui compte une belle brochette de cinglés de talents et, du coup, une impressionnante collection d’histoires alternatives.
Qui, dans la jungle bolivienne, a tué Ernesto « Che » Guevara, un beau jour de 1967? Ce quatrième tome de la série de bande dessinée L’homme de l’année tente de répondre à cette question à travers un angle très intéressant: celle d’une légende à la hauteur de celle du révolutionnaire argentin.
C’est l’histoire de Mariolle, qui est un sacré gaillard, et de Gaillard, qui est un sacré mariolle. Ainsi pourrais-je résumer l’intrigue de ce troisième tome de la série L’homme de l’année, tome consacré à l’année 1815 et à celui qui proféra la fameuse injure à la bataille de Waterloo.
Second tome (en date) de la série de bande dessinée « historique » L’homme de l’année, 1431, l’homme qui trahit Jeanne d’Arc change de ton et propose une enquête, à-posteriori, sur le destin de la Pucelle.
Or donc, un capitaine d’origine gênoise nommé Colomb traversa un beau jour l’Océan atlantique à bord de trois navires pour découvrir ce qui s’avéra être l’Amérique. Fort bien, sauf que dans ce treizième tome de la série Jour J, intitulé Colomb Pacha, ledit capitaine a pris le prénom Abdel après sa conversion à l’Islam et navigue pour le compte de l’émir de Corfou.
Lorsque j’ai pris Anamnèse de Lady Star, signé L.L. Kloetzer, je savais déjà que ça n’allait pas être simple – ne serait-ce que pour l’emploi d’un terme comme anamnèse, qu’il m’a fallu chercher sur Wikipédia. Un mot plus simple aurait été moins précis et on peut dire que, dans cet ouvrage, ses quatre définitions s’appliquent.
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