Thierry Crouzet a publié récemment sur son blog un article très intéressant sur les licences Creative Commons et leur utilisation, intitulé Conditions opératives du Creative Commons.
En ce vendredi 13, je suis heureux d’annoncer que j’en suis à peu près à la moitié de mes objectifs de NaNoWriMo. Pour mémoire – au cas où des gens plus vieux que moi liraient ces lignes – le NaNoWriMo (pour National Novel Writing Month) est une sorte de concours littéraire qui demande à ses participants d’écrire 50 000 mots en un mois.
Bon, ce n’est pas que ça me démange très intensément, mais l’envie de participer cette année au NaNoWriMo – pour National Novel Writing Month – me titille depuis un moment. Ce n’est pas tant par envie d’être tendance, mais surtout parce que c’est l’occasion de me sortir les doigts opposables de là où le soleil ne brille jamais et de finir par poser sur papier une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps.
Malgré cagnard, festivals et obligations professionnelles, je poursuis mes réflexions et expérimentations sur les mécanismes de jeu en posant quelques considérations sur les ressources et les contacts.
La question de la rémunération des contenus est à mon avis une des questions clés de la création sur Internet, c’est pourquoi j’ai tendance à m’intéresser aux différentes solutions potentielles, comme Carrot et Pressformore.
Grâce à Roboduck, j’ai pu tester Microscope, un OVNI rôlistique que son auteur qualifie de « jeu de rôles fractal » et qui permet de recréer une Histoire, de celle qui a des majuscules et qui se déroule sur des dizaines d’années. Voire plus, si affinités.
Un des arguments qu’on oppose souvent à la notion de licence libre, c’est le côté « oui, mais si je ne protège pas mes créations, n’importe qui peut les prendre et les vendre en mon nom. » C’est vrai et ça arrive – et les quelques anecdotes récentes que je mentionne dans ce billet le prouvent – mais c’est moins grave que l’on pourrait le penser. Parce que voler quelque chose qui est disponible gratuitement, c’est quand même très con, quelque part.
Imaginez un salon dans lequel se retrouvent les otakus, les fondus du med-fan, les fans de superhéros, les distingués amateurs de steampunk, les auteurs, les joueurs, les cosplayeurs, les amateurs d’informatique et les créateurs de tous poils: c’est Geekopolis. Et c’est bien, mais c’est quand même un peu fatiguant.
Un des éléments que les joueurs attendent dans un univers de science-fiction, c’est d’avoir du matos qui claque.
Voici le texte de mon intervention lors de l’Atelier de création de jeux de rôles, organisé par Oliver Vulliamy, collègue coopérateur de 2 dés sans faces, lors de la dernière convention Orc’idée. C’est à peu près reconstitué d’après des notes écrites à l’arrache, quelque peu augmenté de choses dites et discutées et remis dans un ordre presque cohérent.
Lorsque j’ai publié les résultats du sondage sur Tigres Volants la semaine passée, j’ai mentionné que la plupart des résultats et commentaires recoupaient les idées que j’avais moi-même eues.
Au début de cette année, j’avais lancé une question simple: et toi, c’est quoi ton Tigres Volants? Le moment est venu de regarder les résultats sous le nez et d’essayer d’en tirer quelques enseignements.
Ceux qui suivent le Tigres Volants Central auront certainement vu passer les quelques quarante-cinq épisodes de mon roman-feuilleton Erdorin, Chroniques de l’Arbre-monde – plus la petite dizaine de Fragments d’Éternité. Maintenant que la parution de ce qui ressemble beaucoup à un premier tome est terminée, l’heure est à un petit bilan financier.
Il fallait bien quelqu’un comme Cory Doctorow pour détourner une des phrases les plus mythiques d’Internet et, avec son essai Information Doesn’t Want to Be Free, sérieusement débroussailler la question des droits d’auteur, de la copie, des verrous numériques et, plus généralement, de la liberté d’expression et de création au XXIe siècle.
J’ai l’impression confuse que « industriel » est le nouveau « militaire »: un adjectif qui transforme immédiatement le terme auquel il est apposé en oxymore. La nourriture industrielle n’est pas de la nourriture, la culture industrielle n’est pas la culture, la musique industrielle… ah non, ça, ça joue encore. Enfin bref. Tout ceci pour vous dire que, depuis pas mal de temps, on parle beaucoup de l’industrie de la culture.
Après le bilan, il est aussi l’heure de penser aux résolutions pour 2015. On va faire simple: ce seront grosso-modo les mêmes que pour 2014. Je vais donc continuer vers l’objectif de légèreté, vers l’exploration et la promotion de solutions open-source et continuer également dans le domaine de la création.
Mardi passé, Axelle a posté un billet sur un changement de loi sur la TVA dans l’Union européenne, jusque là passé sous le radar et qui a le potentiel de mettre dans le caca un grand nombre de micro-éditeurs et de créateurs indépendants.
Il y a peu, Brand a lancé l’idée des « Cinq Trucs », qui consiste à demander à des auteurs de jeu de rôles cinq astuces pour réussir son jeu.
Il y a quelques temps de cela, j’ai été contacté par Coralie David, qui prépare une thèse de littérature comparée sur le jeu de rôle et a, pour ce faire, contacté un wagon d’auteurs prestigieux, comme Anthony « Yno » Combrexelle, Éric Nieudan, Romain d’Huissier, Olivier Caïra, Laurent « BobDarko » Devernay, Tristan Lhomme et une trouzée d’autres, francophones ou non.
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