Je suppose que je n’ai pas besoin de vous rappeler que, ceci étant un blog et pas grand-chose de plus, tout espoir d’impartialité est illusoire. En plus, s’il s’agit d’une convention organisée 1) sur la terre de mes ancêtres et 2) par un ami, c’est carrément mort. Tout ceci pour dire que je suis allé à la Convention du Dé qu’a dents, club de jeu montheysan.
Bon, j’ai beau avoir daubé par deux fois cette semaine sur Prograchives et ses chroniques moubourratives, il m’arrive tout de même de découvrir par ce biais quelques pépites fort sympathiques, comme le groupe italien Mad Puppet, actif entre 1982 et 2001. Je vais vous parler ici de l’album King Laurin and his Rosegarden, mais sachez que toute leur discographie est disponible gratuitement sur leur site (italo-allemand et un peu toupourri).
C’est la mauvaise nouvelle de la journée d’hier: les rumeurs plus qu’insistantes (à relativiser, cela dit) d’une prochaine disparition du site d’information français Owni. Une mauvaise nouvelle, mais qui ne m’étonne pas tant que cela: un site qui propose une information de qualité et des visualisations de données de haut niveau, tout cela gratuitement, sans pub ni abonnement (ni même de bouton pour faire un don), ça paraissait trop beau.
Je crois l’avoir déjà dit une ou douze fois, si j’aime beaucoup le rock progressif, j’ai plus de mal avec le prog à chanteuse. Du coup, un album comme Nature’s Choir, tout récent opus du groupe finlandais Opus Symbiosis, me laisse des sentiments mitigés.
Le 10 juin 1791, alors que les révolutionnaires marchent sur les Tuileries, la famille royale s’évade en montgolfière. Mais Louis XVI, blessé par une balle perdue, meurt peu après l’atterrissage et la reine Marie-Antoinette, devenue régente, lance la contre-offensive avec l’aide d’un jeune et ambitieux général corse. Tel est le point de départ du dernier volume de la série Jour J: La Nuit des Tuileries.
Je dois avouer une fascination certaine pour la série Blake & Mortimer, créée par Edgar P. Jacobs, et son mélange d’enquêtes très british et d’éléments de science-fiction ou de fantastique. Les dernières livraisons ne m’avaient pas réellement enthousiasmé, mais avec le nouveau volume, Le Serment des cinq Lords, je suis déçu en bien, comme on dit en là par chez nous.
Il y a des albums qui vous frappent immédiatement et d’autres pour lesquels l’impression est plus diffuse et prend un certain temps d’écoute avant de d’installer. In The Last Waking Moments…, de Edison’s Children, fait partie de la seconde catégorie.
Je relaye ici une initiative très intéressante de Jérôme « Brand » Larré autour de son projet de traduction en français du jeu de rôle japonais Ryuutama (dont la souscription a explosé pas mal de records): il publie sur son blog les notes de conception de l’auteur de Ryuutama.
Ces derniers temps, suite à quelques voyages et, plus récemment, une rencontre malencontreuse avec une portière de voiture, je pratique beaucoup les transports en commun. Point positif: ça me laisse du temps pour lire (parce que bouquiner à vélo, c’est moyen pratique) et, du coup, j’enquille les bouquins à la chaîne. Dernier en date: Points chauds, de Laurent Genefort.
La découverte musicale de la semaine (dernière, pour être précis) est à porter au crédit de Ben Felten qui, sur Google+, a posté la vidéo d’un concert du groupe américain Umphrey’s McGee. J’en avais entendu parler, mais je n’avais jamais entendu un morceau de ce groupe; les dix-huit minutes de « Ocean Billy », enregistré à Red Rocks, m’ont convaincu.
Comme je l’avais prédit vendredi, il ne m’a pas fallu longtemps pour finir Pirate Cinema, le dernier bouquin de Cory Doctorow. Enfin, dernier, c’est vite dit: il en a publié tellement ces derniers temps que j’ai un peu perdu le compte. Toujours est-il que Pirate Cinema est le plus récent de ces bouquins « jeune adulte » dans la lignée de Little Brother ou For The Win.
Découvert via Denis, de Progressive-Area, Dissonati est un groupe américain qui fait du progressif comme-son-nom-l’indique. Son premier album, Reductio Ad Absurdum – disponible gratuitement sur leur site officiel – est une sorte d’exercice de style dans l’art de mettre la cacophonie au service de la mélodie. Et réciproquement.
Mini-billet pour un mini-album: l’EP Death Rides Southward des Montréalais de Tumbleweed Dealer est arrivé dans ma boîte mail (à deux ou trois clics près) et, après quelques écoutes des trois morceaux disponibles en téléchargement gratuit, je dois dire que c’est plutôt prometteur.
Je suis en train de lire un des derniers bouquins de Cory Doctorow, Pirate Cinema. Fiction? Paf! Mes flux RSS me crachent des exemples encore plus absurdes!
Si vous voulez de la science-fiction exotique, pas besoin de faire des milliers d’années-lumière ou des milliers d’années tout court: il suffit de se plonger dans The Windup Girl, le roman de l’Américain Paolo Bacigalupi, qui se déroule dans une Thaïlande de l’après-pétrole.
Lorsque j’étais venu à Louvain-la-Neuve il y a deux ans, j’avais noté du coin de l’œil l’existence d’un Musée Hergé, que je n’avais pas eu le temps de visiter. Je ne suis pas un tintinophile averti, ni même un grand fan du héros à la houppe, mais je mentirais si je disais que ce n’est pas une bande dessinée qui a marqué mon enfance.
Soyons honnête: lors de cette édition du Festival en Jeux (et de la Fantastique.Convention), sis à Louvain-la-Neuve, je n’aurai de nouveau pas beaucoup joué. Mais beaucoup discuté jeu en général et jeu de rôle en particulier avec les rares qui avaient fait le déplacement. Et un peu vendu, aussi; tout n’est pas perdu.
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