Deuxième séance de rattrapage sur le thème comédie d’action sur le thème de l’espion post-bondien: le récent film Kingsman: The Secret Service, qui, comme Knight and Day, joue la carte de la satire, mais avec quelques subtilités supplémentaires. Si l’intrigue… Continue Reading →
Le hasard a voulu qu’à une semaine d’intervalle, nous regardions deux films qui ont maintenant quelques années et qui, chacun dans leur genre, présentent une relecture du film d’action/espionnage à la James Bond plus sous le signe de la comédie que du thriller. Le premier, c’est Knight and Day.
Ding dong, c’est l’heure d’un nouveau héros Marvel au cinéma: Doctor Strange est dans la place! Et, du coup, nous aussi, « la place » étant celle du cinéma pas trop loin de chez nous, qui a le bon goût de le… Continue Reading →
Jake est un paisible ado américain, jusqu’à ce qu’il retrouve son grand-père mourant et qu’il entraperçoit un monstre non loin de la scène. Sur les conseils de sa psy, il décide de partir avec son père sur une île du Pays de Galles, à la recherche du Miss Peregrine’s Home for Peculiar Children.
Un peu par hasard, nous sommes tombés hier soir sur une série télé française regardable, intitulée Emma. Ouais, ça me surprend aussi, surtout avec un truc produit par TF1. Surtout quand ça flirte avec l’anticipation.
Bon, les copains, on va tout de suite poser les choses: je n’ai pas aimé Suicide Squad. Pour être plus précis, je n’ai pas réussi à entrer dedans dès le départ. Il m’est arrivé de prendre plaisir à voir des films qui, dès la fin de la séance, me sont apparus comme médiocres, mais pas cette fois.
Suite et fin de ma chronique sur la saison 3 de Agents of SHIELD. Ouais, j’avoue: sur ce coup, je me suis fait avoir par pause hivernale de cette série – remplacée pendant cette période par la deuxième saison de Agent Carter. À ma décharge, le dernier épisode de cette première moitié n’aurait pas dépareillé en fin de saison.
Cette histoire finira mal, je vous le dis! Des vampires, des loups-garous, des créatures ressuscitées, des immortels et maintenant, une femme psychiatre. Cette histoire, c’est Penny Dreadful, la série britannique d’horreur gothique puissance trouze mille, dont la troisième saison est en effet la dernière. Comme dans fini, y’a plus.
Le système solaire, quelques décennies dans le futur: la Terre, Mars et les « Belters » – qui habitent les stations spatiales et astéroïdales – se regardent en chien de fusil et il ne faudrait pas grand-chose pour que la situation parte en vrille.
Pas grand-chose, genre un vaisseau qui disparaît, un faux signal de détresse et une riche héritière rebelle. Bienvenue dans le monde de The Expanse!
C’est l’histoire de cinq potes qui essayent de finir la tournée des douze pubs de leur patelin natal, vingt ans après, en terminant par celui qui s’appelle The World’s End. Et c’est là que les extra-terrestres envahissent la Terre.
Captain America: Civil War, dernier épisode cinématographique de l’univers étendu Marvel, répond à une question qui tarabuste souvent les amateurs d’histoire de super-héros: qui garde les gardiens? Ou, pour être plus précis, que se passe-t-il quand on demande aux gardiens d’être eux-mêmes gardés?
Qu’obtient-on quand on mélange du post-apo, du western et des combats de sabre façon film de Hong-kong? Une série télé assez surprenante intitulée Into the Badlands et qui parle surtout de gens qui aimeraient bien sortir des badlands en question.
OK, qui d’entre vous n’a jamais vu les films Evil Dead, de Sam Raimi et avec Bruce Campbell? À part moi, s’entend, je n’ai vu que le troisième, Army of Darkness. Bref, sachez qu’il existe désormais une série télé, Ash vs Evil Dead, où Bruce Campbell reprend son rôle de Ash, trente ans plus tard, et s’en retourne buter du mort-vivant avec fusil à pompe et tronçonneuse.
J’avoue: je n’ai pas d’idée cette année pour un poisson d’avril, alors je me dis qu’autant faire la chronique d’une série bien tarte à la crème, à savoir Galavant, dont la deuxième saison vient d’être diffusée aux USA. J’avais beaucoup aimé la première et je me réjouissais à l’avance de ce renouvellement.
Quatrième et dernière saison pour Continuum, la série canadienne de voyage dans le temps de Simon Barry qui met en scène Kiera Cameron, une policière de 2077, propulsée à notre époque en même temps qu’un groupe de révolutionnaires qui comptent bien changer l’histoire.
L’idée d’adapter en film Deadpool, le super-héros le plus barré de la tronche de l’univers Marvel, ressemblait à une gageüre. Le genre de projet casse-gueule qui faisait saliver tous les fans, tout en leur causant des sueurs froides.
Opération rattrapage de film, deuxième session, avec Mad Max: Fury Road. Disons que c’est un film que je serais peut-être allé voir au ciné si mes proches avaient insisté, mais un peu personne n’avait envie de le voir. Dans l’absolu, n’ayant été fan de la série – je n’ai vu que le troisième, c’est dire – je n’ai pas vraiment insisté non plus.
Qui dit voyage en avion, dit occasion de voir des films que j’avais soit raté à leur sortie, soit qui n’étaient pas sortis du tout. Il me semble que ce The Man from U.N.C.L.E rentre dans la seconde catégorie, mais, ayant repéré la bande-annonce il y a quelques temps, j’ai profité de l’aubaine – en l’occurrence, dix heures de vol au-dessus de l’Afrique.
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