Huitième épisode de la saga Star Wars, The Last Jedi est sorti il y a moins de deux semaines et je dois être un des derniers parmi mes contacts à l’avoir vu. Autant dire que la survie sur les réseaux sociaux en évitant les spoilers a été quelque peu rude, mais ça en valait la peine.
Riche idée qu’a eue là l’AMDA, l’association des Amis de la Maison d’Ailleurs, qui ont organisé à Genève une projection du documentaire Jodorowsky’s Dune, en présence de son réalisateur, l’Américain Frank Pavich!
K est un réplicant au service de la police de Los Angeles, un androïde biologique créé pour obéir et rien d’autre, en butte au racisme de ses collègues et à une condition d’objet vivant, qui pourchasse d’autres réplicants: un blade runner. Et, comme on est en 2049, le film s’appelle Blade Runner 2049.
Je préfère vous prévenir tout de suite: mon avis sur Valerian and the City of a Thousand Planets, le film de Luc Besson tiré des aventures de Valérian et Laureline, est mitigé. Par « mitigé », j’entends qu’il y a du bon et du moins bon et que, souvent, même dans le très bon, il y a du mauvais, et réciproquement. Ce « mitigé » n’est donc pas un euphémisme pour « toupourri ». Mais ça a failli.
Posons tout de suite les choses avant de parler de cette première saison de la série American Gods: non, je n’ai pas lu bouquin, oui, je sais que c’est du Neil Gaiman, et oui, je vais sans doute le faire un de ces quatre. Ok, c’est bon?
Histoire de fêter dignement le 14 juillet, je vais vous parler d’un truc français. J’ai souvent tendance à dire que « à la française » est un synonyme de « en moins bon ». Il y a des exceptions, mais, comme je me souviens de quelques abominations des années 1980, les films d’animation figuraient encore en bonne place dans cette catégorie. Mais, là encore, les choses changent et Le Grand méchant renard est une bonne surprise.
Dans la première saison de Dark Matter, on avait six personnages amnésiques à bord d’un vaisseau qui, au fil des péripéties, retrouvaient des bribes de leur passé pour finalement convenir que leurs anciennes personnalités n’étaient pas des gens fréquentables – y compris par eux-mêmes.
Bon, j’admets ici que vous avez tous vu la première saison de Ash vs Evil Dead, la série télé qui reprend le principe des trois films Evil Dead et le personnage de Ash Williams (l’inénarrable Bruce Campbell), accompagné de ses deux acolytes Pablo (Ray Santiago) et Kelly (Dana De Lorenzo).
Je dirais bien que je suis allé voir Wonder Woman pour pouvoir renouveler mon permis de geek, mais je ne suis pas cynique à ce point. J’avais réellement envie de voir ce film et j’avais réellement envie de le trouver chouette. Spoiler: ça n’a pas très bien fonctionné.
Comme mentionné précédemment, si vous voulez de la série télé de science-fiction, il y a une blinde de choix ces temps. Parmi celles-ci, The Expanse est probablement la plus impressionnante et la plus dense. Déjà par son côté hard-science et ses aspects réalistes (même si elle n’est pas complètement l’un ni l’autre), mais aussi par son scénario qui mélange géopolitique brutale et découverte majeure.
Bonjour les gens! Au moment où j’écris cette chronique, on est lundi soir et je regarde Jupiter Ascending sur ce qu’on appelle pudiquement une « chaîne du câble » (c’est un euphémisme pour « télé de merde »). On est limite dans le domaine du livetweet, là. Oui, je m’emmerde un peu, là.
C’est une bonne époque pour être un fan de science-fiction, si l’on en juge par la profusion de séries qui sont diffusées ces temps. Killjoys est une de ces séries et, honnêtement, je me demande encore comment il se fait qu’elle ait été renouvelée pour une deuxième saison.
Je n’en suis pas très fier, mais j’ai craqué et téléchargé une copie de Moi y’en a vouloir des sous pour regarder dans l’avion. En même temps, je n’avais pas vraiment le choix: ce film de Jean Yanne n’a jamais été réédité en DVD et ses passages à la télévision sont rares. Ce qui est bien dommage.
Si vous avez vu le premier opus de Guardians of the Galaxy, vous n’avez sans doute qu’une question à la bouche: ce deuxième épisode est-il aussi bon que le premier? La réponse est oui et je vous expliquerai plus loin pourquoi.
Mardi soir, l’indigence télévisuelle étant ce qu’elle est, ce fut séance rattrapage DVD avec le dessin animé The Secret Life of Pets – en français, Comme des bêtes, parce que la France est aux traductions WTF de titres ce que le Japon est au WTF tout court. Passons.
On reconnaît souvent les séries marquantes à leur générique. Celle de Person of Interest commence avec la voix d’un des personnages, qui annonce:
« On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret. Une machine ! Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créé. »
Je suis récemment retombé sur des illustrations de l’artiste suédois Simon Stålenhag, dont les peintures numériques montraient des éléments futuristes intégrés dans la campagne suédoise des années 1980.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑