Qui dit voyage en avion, dit occasion de voir des films que j’avais soit raté à leur sortie, soit qui n’étaient pas sortis du tout. Il me semble que ce The Man from U.N.C.L.E rentre dans la seconde catégorie, mais, ayant repéré la bande-annonce il y a quelques temps, j’ai profité de l’aubaine – en l’occurrence, dix heures de vol au-dessus de l’Afrique.
Profitant des fêtes, on s’est tapé, avec une partie du gang habituel, une séance de rattrapage vidéo avec Ant-Man, un des derniers avatars récents de l’univers cinématique Marvel. Je me méfiais un peu, pour cause de manque d’affinité flagrante avec l’autre super-héros insectoïde (oui, je sais que les araignées ne sont pas des insectes), mais celui-ci était plutôt rigolo.
Double passage obligé du geek blogueur contemporain: je suis donc allé voir The Force Awakens, le nouvel opus de la saga Star Wars, et me voici donc à écrire un billet là-dessus. Histoire de rendre les choses un peu plus amusantes, je vais essayer de faire en sorte de ne rien à dévoiler de l’intrigue et des surprises d’icelles.
Une mission habitée sur Mars qui tourne mal, un astronaute laissé pour mort sur la surface de la planète et la survie à tout prix pendant plus de 500 jours, tels sont les thèmes de The Martian, dernier film de Ridley Scott, avec Matt Damon dans le rôle-titre.
Dans le dernier épisode en date de Agents of SHIELD, Coulson lâche « c’est le moment d’appeler les Avengers ». La nature et l’univers cinématique Marvel étant bien faits, voici donc Avengers: Age of Ultron, le nouveau film.
Petit génie de la robotique, Hiro Hamada fait le désespoir de son grand frère Tadashi, également roboticien, en gaspillant son talent dans des combats de robots moyennement légaux. Lorsqu’il parvient enfin à le convaincre d’entrer à l’université, il meurt dans un incendie, laissant à Hiro un prototype de robot infirmier, Baymax. Mais Hiro découvre que la mort de son grand frère n’est peut-être pas accidentelle.
Pour résumer ce troisième volet de The Hobbit, il suffit d’en lire le titre: il y a un Hobbit, une bataille et cinq armées. Et c’est à peu près tout. Autant le dire tout de suite: à mon avis, cette conclusion est de loin le plus faible des six films réalisés par Peter Jackson dans l’univers de Tolkien.
Blogueur rôliste un peu fou dans sa tête sur Du bruit derrière le paravent, le sieur Pogo (Greg pour les dames) a décidé de nous raconter Les Gardiens de la Galaxie façon partie de Star Wars RPG – et ça fait un peu « Star Wars ta gueule à la récré ».
Alors que le troisième volet sort ces jours au ciné, séance-rattrappage DVD pour Catching Fire, deuxième épisode de The Hunger Games. Si le premier pouvait ressembler à un remake plus ou moins réussi de Battle Royale, l’originalité de la série transparaît plus clairement avec l’ajout d’une grosse dimension politique dans le monde dystopique post-post-apo de Panem.
La séance de rattrapage DVD du week-end a été consacré à Now You See Me, un film où quatre magiciens de scène se livrent à des vols audacieux sous couvert de leur spectacle. Un film sur l’esbrouffe et, il faut bien le dire, par l’esbrouffe.
S’il y a bien un passage obligé pour le geeks cet été, c’est sans aucun doute ce Guardians of the Galaxy, nouvel opus cinématographique à grand spectacle de l’univers étendu Marvel. Et je vais tout de suite briser le suspens: il est bien. Pas exceptionnellement méga-génial-de-la-triple-mort, mais bien.
J’avoue que ce n’est pas sans une certaine appréhension que je me suis laissé entraîné à une séance de rattrapage DVD pour Ice Age 4: Continental Drift. Non que les trois premiers films n’étaient pas bons, mais c’est précisément ce qui me fait peur: vous vous souvenez d’un film numéroté « 4 » qui tenait debout, vous? Et non, Star Wars: A New Hope ne compte pas.
Encore un film de la franchise X-Men auquel je vais à reculons: Days of Future Past fait la liaison entre la série « contemporaine », le flashback que constituait First Class et les spin-off sur Wolverine, X-Men Origins et The Wolverine.
Cinq ans après les événements du premier film (et des deux saisons de la série télé), How to Train Your Dragon 2 nous renvoie sur l’île de Berk, ses vikings, ses dragons et ceux qui les dressent. Hiccup (Harold en VF), Astrid et sa clique sont devenus de jeunes adultes et l’ambiance est au beau fixe.
À la veille d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, le major Cage, des relations publiques de l’armée US, a la brillante idée de menacer un général britannique pour éviter d’être envoyé couvrir le front. Du coup, le voilà rétrogradé, classé déserteur et… envoyé sur le front. Où il meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, un des blockbusters de l’été.
En ce jour où Leiji Matsumoto était de passage à Genève, pour le Salon du Livre, nous avons décidé de regarder le film Space Pirate Captain Harlock, adaptation en images de synthèse d’un des personnages les plus célèbres de cet auteur, connu en France sous le nom d’Albator.
Décongelé après septante ans à la fin du premier film, plongé dans un conflit majeur dans The Avengers, Captain America revient dans The Winter Soldier, dans lequel il va devoir affronter une menace bien plus pernicieuse: un SHIELD perverti de l’intérieur.
Frozen, la dernière création des studios Disney, nous propose deux princesses pour le prix d’une: Elsa, l’aînée douée de pouvoirs magiques qu’elle a du mal à contrôler et Anna, qui l’ignore et que l’on garde séparée de sa sœur pour la protéger, sans lui dire pourquoi. Évidemment, le jour du couronnement, les choses vont mal tourner et Elsa s’enfuit en plongeant le royaume dans un hiver perpétuel.
Autant je suis allé voir The Monuments Men à reculons, autant j’étais remonté à bloc (sans jeu de mots) à l’idée de The Lego Movie. Il faut dire que j’avais vu pas mal d’extraits qui laissaient à penser que c’était bien con comme il faut. Je confirme: ça l’est.
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