Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Monuments: The Amanuensis

Le nouvel album de Monuments, intitulé The Amanuensis, est une bonne nouvelle pour ceux qui, comme moi, avaient flashé sur TesseracT: visiblement, la notion de « djent mélodique » n’est pas seulement une facétie d’un seul groupe, puisque cet album s’en rapproche manifestement. Ce n’est pas très étonnant que les deux groupes sont nés d’une même origine, un groupe nommé Fellsilent.

 

Deus Ex Machina / The Erkonauts / Hypocras à Genève

Ce samedi, c’était non seulement une soirée métal à Genève, mais, avec Deus Ex Machina, The Erkonauts et Hypocras à l’affiche de L’Écurie, c’était une soirée métal genevois, de bleu! Après ce que l’on pouvait clairement définir comme une bonne grosse semaine de merde, j’avais besoin de ça.

Within Temptation: Let Us Burn

J’ai eu droit à quelques regards bizarres quand j’ai avoué avoir acheté Let Us Burn, le double-live de Within Temptation. Pas tant que le groupe néerlandais, un des fers de lance du métal symphonique, ait une mauvaise réputation, mais plutôt que le principe même du live laisse perplexe pas mal de mes contemporains.

« The Quantum Enigma » de Epica, mon album de l’année 2014

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Il y a des années où l’attribution du titre – moyennement convoité – de « album de l’année de tonton Alias » est laborieuse, au vu du nombre de candidats potentiels et d’autres où il s’impose comme une évidence. The Quantum Enigma d’Epica entre dans la seconde catégorie: ça fait depuis fin mai que j’en avais l’intuition et peu d’albums depuis m’ont fait hésiter.

Vulkan: Mask of Air

Mask of Air du groupe suédois Vulkan traîne dans ma playlist depuis près de deux mois. C’est le drame des groupes avec des noms qui tombent tout en bas de la liste alphabétique: forcément, ils sont joués moins souvent. Et c’est dommage, parce que ce rock progressif moderne et énergique a des arguments à faire valoir.

Unseelie: Urban Fantasy

Unseelie est un groupe franco-belge qui prouve une fois de plus que les productions hexagonales n’ont pas vraiment de complexes à avoir par rapport à l’armada nordique de groupes de métal symphonique, progressif et/ou gothique: leur premier album Urban Fantasy (qui m’est parvenu en service de presse) est une des très bonnes surprises de cette année.

Soen: Tellurian

Quelque peu échaudé par un premier album semi-décevant, j’ai hésité avant d’acheter Tellurian, le second opus de Soen. Bien m’en a pris: ce super-groupe qui recrute chez Opeth, Death et Amon Amarth (entre autres) a sorti ici un petit bijou de métal progressif, entre Tool, Porcupine Tree et Riverside.

The Erkonauts à Genève

Il paraît que les concerts de Noël, c’est traditionnel. Soit: après celui de Primasch l’année passée, ma tradition à moi sera d’aller voir des concerts bruyants, comme celui donné par le groupe genevois The Erkonauts dans le minuscule local de Urgence Disk à L’Usine.

Pain of Salvation: Falling Home

Or donc, le groupe suédois de métal progressif Pain of Salvation, précédemment sur la route, retombe à la maison avec Falling Home, un nouvel album toujours moyennement progressif et très moyennement métal.

Ne Obliviscaris: Citadel

Citadel, du groupe australien Ne Obliviscaris, est ce qui arrive quand des extrémistes décident de mélanger 50% de métal progressif, 50% de death et 50% de violons folk. Ça donne 150%, ce qui n’est pas toujours un gage, sinon de qualité, du moins d’écoutabilité.

My Brother the Wind: Once There Was a Time When Time and Space Were One

Le groupe suédois My Brother the Wind rejoint la conspiration des albums qui ont décidé de flinguer l’optimisation des articles supposés parler d’eux avec Once There Was a Time When Time and Space Were One, un long opus instrumental mélangeant post-rock, psychédélique et rock progressif.

Triosphere: The Heart of the Matter

À l’écoute de The Heart of the Matter, nouvel album de Triosphere, deux constatations: c’est vachement peu original et c’est vachement bien quand même. Le quatuor norvégien nous livre là un nouvel opus de power-metal qui reprend un peu tous les poncifs du genre, mais qui le fait avec une efficacité impressionnante.

Lost Ubikyst in Apeiron: Abstruse Imbeciles Nailed on Slavery

Donc, chronique de l’album Abstruse Imbeciles Nailed on Slavery, de Lost Ubikyst in Apeiron. Première remarque: Wow, ça c’est du titre! C’est mon SEO qui va être content! Deuxième remarque: dans le genre métal progressif, c’est bien bien barré. Trop, peut-être.

Pink Floyd: The Endless River

En général, la communauté des prog-heads est assez calme – l’âge de ses membres y est sans doute pour quelque chose. Il arrive néanmoins qu’elle entre soudainement en éruption, le plus souvent à cause de la sortie d’un album de la part d’un des « monstres sacrés » du genre, comme ce The Endless River de Pink Floyd.

Machinae Supremacy: Phantom Shadow

On peut faire du métal avec tout, y compris de la musique de vieux jeux vidéos. C’est ce qu’a compris, en substance, le groupe suédois Machinae Supremacy, qui a même créé son propre style, le « SID metal », en référence à la puce audio des Commodore 64. C’est même un de leurs principaux instruments, notamment sur leur dernier album, Phantom Shadow.

Ghost Brigade: One With the Storm

Lorsqu’il y a trois ans de cela, j’avais écrit une chronique sur le précédent album de Ghost Brigade, j’avais dit qu’il était un peu trop influencé. One With the Storm est également un album sous influences. Pluriel. Comme dans, beaucoup.

 

iamthemorning: Belighted

Après la mise en bouche de Miscellany, le mini-album paru au début de l’année, c’était avec une certaine impatience que j’attendais la sortie de Belighted, le « vrai » nouvel album du duo russe connu sous le nom de iamthemorning. Après plusieurs écoutes, je suis un peu déçu et un peu frustré, la frustration étant principalement due au fait que je ne comprends pas très bien d’où vient ma déception.

Sonata Arctica: Ecliptica Revisited

Or donc, cette année marque le 15e anniversaire du premier album des Finlandais de Sonata Arctica. Pour fêter ça (et se faire des sous), le groupe a décidé d’en sortir une version retravaillée, intitulée comme il se doit Ecliptica Revisited – et moi, en bon fanboy, je me devais de l’acheter.

Gran Turismo Veloce: Di carne, di anima

Quatre mois après les avoir vus sur scène lors du Night of the Prog, il était quand même temps pour moi de m’intéresser de plus près à la musique des Italiens de Gran Turismo Veloce. C’est chose faite avec leur dernier album en date, Di carne, di anima.

 

Devin Townsend: Z2

Devin Townsend, le Canadien fou, doit partager avec son « héros » Ziltoid The Omniscient un amour immodéré pour la café si on en juge, d’une part par ses prestations scéniques particulièrement secouées et, d’autre part, par sa production logorrhéique. Témoin la sortie de Z2, qui ne contient pas seulement un, mais deux albums.

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