Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Umpfel: Cactus

Pour cette découverte pur prog qu’est Cactus, de Umpfel, c’est Neoprog que je dois remercier. Encore que « remercier » n’est peut-être pas le terme le plus approprié, puisque ce duo norvégien me laisse des impressions mitigées.

Sans Soleil: A Holy Land Beneath a Godless Sky

Je dis souvent que le post-rock est un genre qui souffre d’un manque d’un souffle original. Le quatuor texan Sans Soleil vient peut-être rectifier ce paradigme avec leur EP A Holy Land Beneath a Godless Sky, qui mêle post-rock, post-metal et violon alto.

The Odd Gallant: AM

Alerte copinage: The Odd Gallant, projet de rock progressif, est le fait du musicien français Guillaume Cazenave, qui m’a contacté pour parler de AM. Ceci est donc une forme de service de presse et je suis du coup mal placé pour dire du mal de son premier album (sous ce nom de projet; son cinquième en tout). Ce qui tombe bien, parce que ce AM est objectivement plutôt bon.

Kylver: The Mountain Ghost

Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste « excellent »?

 

Negură Bunget: Tău

Après ma précédente virée dans les étoiles, il est agréable de faire une balade dans les forêts fraîches et sauvages, surtout par ces fortes chaleurs. Bon, quand ces forêts se situent en Transylvanie, comme celles évoquées par le groupe de black-metal roumain Negura Bunget dans son nouvel album, Tău, il vaut mieux se préparer à des rencontres pas forcément des plus plaisantes.

God Is an Astronaut: Helios/Erebus

En attendant la prochaine navette pour Bételgeuse via Orion et les Perséides, j’ai Helios/Erebus, le dernier album de God Is an Astronaut, dans les oreilles. Via les systèmes haptiques de ma combinaison, je peux sentir les vents solaires d’étoiles inaccessibles, les rayonnements gamma de quasars invisibles; pour un peu, je pourrais presque goûter l’herbe de l’Irlande, terre natale de ces fleurons du post-rock.

The Healing Road: Birdbrain’s Travels

Quand j’ai vu que Clair & Obscur chroniquait Birdbrain’s Travels, le nouvel album de The Healing Road, j’avoue avoir ressenti une certaine crispation, en rapport avec ma précédente expérience avec ce projet. Expérience que l’on pourrait résumer par « on peut donc être trop influencé par Mike Oldfield ».

Secrets of the Sky: Pathway

En général, quand Angry Metal Guy parle de post-metal, je tends l’oreille. Ainsi, quand le site a chroniqué positivement l’album Pathway de Secrets of the Sky, j’ai rangé l’article dans mon tiroir virtuel à suivre, même si je n’avais jamais entendu parler de ce groupe américain.

 

In Each Hand a Cutlass: The Kraken

Après la Croatie, un autre pays exotique à accrocher à mon tableau de chasse musical: Singapour. Car c’est de cette riante cité-État (insérez ici rires des fans de Tigres Volants) que provient le groupe de post-rock In Each Hand a Cutlass, dont The Kraken est le dernier album en date. Mille remerciements à Neoprog pour cette découverte!

The Tangent: A Spark in the Aether

The Tangent a pendant longtemps été un groupe enthousiasmant, mais, ces derniers temps, je le trouve surtout frustrant. Illustration par A Spark in the Aether, son nouvel album, qui, après un Le Sacre du Travail plutôt sympa, retombe dans ses travers auto-référents.

 

Rhapsody: Prometheus

Bon, techniquement, le nom de cet album est « Luca Turilli’s Rhapsody: Prometheus – Symphonia Ignis Divinus« , mais franchement, depuis que l’autre Rhapsody est devenu « of SteelFire », il n’y a plus de raison de confondre et les sous-titres latins, ça fait un peu trop pompeux, même pour du métal symphonique. Même pour Luca Turilli.

 

Cold Snap: World War 3

Ce qu’il y a de bien avec le visuel et le titre de World War 3, le premier album du groupe croate Cold Snap, c’est qu’on sait assez bien à quoi s’en tenir: ça ne va pas être subtil, avec une grosse coloration de métal. Deux raisons donc de se réjouir – trois si on compte la satisfaction personnelle de rajouter un groupe croate sur ma carte musicale.

Night of the Prog 2015, survivre au festival

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Alors voilà, l’édition 2015 du Night of the Prog s’est terminée il y a presque une semaine, après trois jours de folie – trois, parce que c’était l’édition du dixième anniversaire. Je ne vais pas – trop – revenir sur les groupes, je vous ai déjà fait trois articles sur le sujet. Mais un tel festival, ce n’est pas que les concerts.

Night of the Prog 2015, troisième jour

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On n’a pas assez dormi, on a trop bu et on a mal aux pieds, mais c’est pas grave: c’est le troisième jour du Night of the Prog Festival. Ça pourrait être pire: il pourrait pleuvoir.

Oups…

Night of the Prog 2015, deuxième jour

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La météo, radieuse la veille, nous gratifie d’ondées matinales. Rien de tel pour se réveiller de bonne humeur qu’une tente dont l’atmosphère est saturée d’humidité et des douches privées d’eau chaude. Qu’à cela ne tienne: on n’est pas là pour se la couler douce, y’a Night of the Prog, deuxième jour! Avec un programme de folie, en sus.

Night of the Prog 2015, premier jour

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Bon, après un périple que je vous relaterai peut-être plus tard – si vous êtes sages – le moment est enfin là: il est 13 h 30 devant les portes du Loreley Freilichtbühne, le festival Night of the Prog, dixième du nom, va commencer. Et votre tonton Alias est là, fidèle au poste, premier rang pile au centre.

Les dix raisons pour aller au Night of the Prog Festival

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Avertissement sans frais, je reviens de la Planète Prog, aussi connue sous le nom de Night of the Prog Festival, au Loreley Freilichtbuhne, en Allemagne. Si vous n’aimez pas le rock progressif, je vous conseille de faire un break de mon blog cette semaine, parce que ça va sentir la musique de vieux. Mais si vous aimez ça, je peux vous donner dix bonnes raisons d’aller à ce festival.

Nocturna: Lucidity

Quand on a mon âge et ma culture musicale, on se rappelle forcément de la grande époque du Hard-FM, entre 1985 et 1990 en gros. Et, du coup, au détour d’une chronique mi-figue mi-raisin de Angry Metal Guy, on se prend le Lucidity de Nocturna en pleine tronche, comme un TGV orange (ou une facture de Minitel). Et on en redemande!

Steve Rothery: The Ghosts of Prypiat

Trente ans après les faits, la catastrophe de Chernobyl continue de marquer les esprits et les musiciens, puisqu’après The Taste of Wormwood de Philippe Luttun, c’est Steve Rothery qui propose un album sur ce thème, The Ghosts of Prypiat. Oui, ce Steve Rothery: le guitariste de Marillion. Et oui, c’est son premier album solo, curieusement.

Wilderun: Sleep at the Edge of the Earth

Au début de l’année, je vous avais présenté Wilderun, groupe bostonien qui, en 2012, nous avait gratifié d’un très agréable Olden Tales & Deathly Trails. Hasard – bienveillant – du calendrier, le groupe revient en 2015 avec Sleep at the Edge of the Earth, ce qui me permet de le chroniquer deux fois en moins de six mois.

 

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