Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Omnium Gatherum: Grey Heavens

Après les Hâvres Gris de Tolkien, voici les Cieux Gris – Grey Heavens – de Omnium Gatherum! Rassurez-vous, vous avez échappé au jeux de mots sur les cinquante nuances. Encore que: comme on parle ici de death-metal mélodique, il y a des chances qu’on ait du brutal qui fait du bien.

Ihsahn: Arktis.

Je suis toujours mystifié avec les albums de Ihsahn: je ne sais pas si c’est lui qui change constamment de style ou moi qui oublie d’un coup sur l’autre, mais ce Arktis. m’a une fois de plus pris par surprise avec un mélange détonnant de heavy-metal classique et de black-metal, avec un – gros – soupçon de progressif par-dessus.

Anthinoises 2016: les concerts

Les Anthinoises, ce n’est pas seulement un marché médiéval, un Castel des Trolls regorgeant d’artistes et de joueurs (et de bière) et des animations diurnes. Le soir venu, c’est aussi – surtout, dirons les amateurs – des concerts de musique celtique et celtisante, avec une programmation éclectique et métissée, n’en déplaise aux chancres de la tradition pure et dure.

Steven Wilson: 4 ½

Il y a des artistes qui parviennent à faire s’enthousiasmer les fans même pour leurs fonds de tiroir. Steven Wilson est de ceux-là et le prouve avec son nouvel album, 4 ½, cinq pistes tirées des sessions de ses deux précédents albums (Hand. Cannot. Erase. et The Raven that Refused to Sing) et une reprise d’un morceaux de Porcupine Tree.

Thy Catafalque: Sgùrr

Si vous croyiez que vous en aviez fini avec les incarnations bizarroïdes de metal cinématique, détrompez-vous: il me reste encore quelques OVNIs en réserve, à commencer par le nouvel album de Thy Catafalque, intitulé Sgùrr. C’est hongrois et c’est concept.

Hypno5e: Shores of the Abstract Line

Le hasard a voulu que, sur ma playlist, Shores of the Asbtract Line, le dernier album de Hypno5e, suive directement les deux opus de Have the Moskovik dont je vous ai parlé hier et donne ainsi naissance à une longue plage cinématique. D’où cette chronique dos à dos.

Have the Moskovik: Une simple théorie des glaces en terrasse

J’espère que vous aimez le post-rock instrumental d’origine française, parce que vous allez continuer à en bouffer, toujours grâce à Fred Bezies. Aujourd’hui, c’est le groupe orléanais Have the Moskovik, découvert par son album de 2011, Une simple théorie des glaces en terrasse.

Serenity: Codex Atlanticus

Les Autrichiens de Serenity sont de retour avec un bon gros gâteau au métal symphonique, intitulé Codex Atlanticus. Et, comme souvent avec ce groupe – et ce style musical – il y a du convenu-mais-plutôt-cool et du nettement moins bon.

Antimatter: The Judas Table

On est dimanche après-midi, il pleut, votre femme vous a quitté et est partie avec les chats, vous devez remplir votre déclaration d’impôts et il n’y a plus de bière dans le frigo. Le moment idéal pour écouter The Judas Table, le dernier album d’Antimatter.

Caspian: Dust and Disquiet

Rarement un titre d’album n’aura autant évoqué l’esprit du post-rock: Dust and Disquiet de Caspian, groupe américain dont je vous avait déjà parlé, signe ici un album impressionnant avec une vraie recherche et des montées en puissance de tueur.

Fleshgod Apocalypse: King

Certains noms de groupe tiennent souvent lieu de profession de foi – surtout dans le metal. Ainsi, Fleshgod Apocalypse évoquant assez peu les envolées mélodiques, le groupe est longtemps resté sous mon radar, jusqu’à ce que Angry Metal Guy fasse une chronique sur leur dernier album, King.

Les restes du samedi: Aronora, musicformessier, Ovrfrwd

Vous savez, ces albums que vous écoutez et que vous trouvez sympas, mais sans plus? Eh bien c’est ce pourquoi j’ai inauguré, il y a quelques temps, cette rubrique « Les restes du samedi », pour brièvement parler de tous ces albums que j’écoute, mais pour lesquels je me découvre incapable d’écrire plus d’une centaine de mots.

Cirrus Minor

Un nom de groupe simple – Cirrus Minor – un album du même nom et des pistes numérotées par de simples chiffres romains, vous êtes sûr que c’est bien du post-rock? Simple, certes, mais un album de bon goût, composé par un groupe français que nous a encore dégoté Fred Bezies, qui s’avoue accro au post-rock instrumental. Mais avec une came pareille, qui l’en blâmerait?

Amadeus Awad: Death Is Just a Feeling

Si je vous dit que Amadeus Awad, c’est du rock progressif libanais, vous me croyez? Bon, d’une part, je n’ai aucune raison de vous mentir là-dessus et, ensuite, ce n’est pas le premier artiste libanais que je vous fait découvrir. Enfin, Death Is Just a Feeling, découvert grâce au blog du Jester, est un très bon album.

Asylum Pyre: Spirited Away

Quand un site de rock progressif – ProgCritique, dans le cas présent – me vend un album de métal symphonique français à voix féminine, je tends l’oreille. C’est ainsi que j’ai récupéré l’album Spirited Away, d’Asylum Pyre.

Standing Ovation: Gravity Beats Nuclear

Acquis sur un coup de tête, à la suite d’une chronique de Progarchives, l’album Gravity Beats Nuclear du groupe finlandais Standing Ovation s’avère être une chouette surprise. Pas transcendante, non plus, mais avec suffisamment de bons côtés pour compenser les moins bons.

Kardashev: Peripety

Quand Clair & Obscur titre « du death progressif qui décoiffe » pour parler de Kardashev, un trio originaire de l’Arizona, ils ne mentent pas: sur la base de Peripety, album paru l’année passée, je confirme que ce qui me reste de cheveux est en train de passer un sale quart d’heure.

Ticket to the Moon: Æ Sense of Life

Après un premier album plutôt sympathique, j’attendais beaucoup de Æ Sense of Life, le nouvel opus du groupe suisse Ticket to the Moon. Trop, sans doute; non que celui-ci soit mauvais, mais il n’est pas exceptionnel, non plus. Il faudrait vraiment que j’apprenne à arrêter de m’auto-moubourrer…

Myrath : Legacy

Vous connaissez mon amour, d’une part pour le métal progressif et, d’autre part, pour les groupes aux origines inhabituelles. Myrath, originaire de Tunisie, remplit ces deux conditions et, si je n’avais pas été convaincu par leur précédent album, Legacy, a nettement plus accroché mon oreille, même si objectivement, il s’éloigne du progressif.

Redemption: The Art of Loss

The Art of Loss, titre du dernier album de Redemption, est un peu prémonitoire, hélas. J’ai l’impression, à son écoute, que j’ai définitivement perdu le Redemption de The Fullness of Time et de n’avoir plus qu’un groupe de métal progressif lambda et pas toujours très inspiré.

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