Les histoires de chat finissent mal, en général. Autant vous prévenir tout de suite : Ti-Puss, d’Ella Maillart, n’y fait pas exception. C’est une belle histoire de chat, mais qui se conclut sur une note douloureuse.
Après avoir lu The Toaster Project de Thomas Thwaites, vous regarderez votre grille-pain – entre autres appareils – d’un autre œil! Car, voyez-vous, ce petit livre bien illustré raconte une aventure en apparence très simple: la quête d’un étudiant en design pour faire un grille-pain. Par « faire », j’entend « construire de toute pièces, à partir de matériaux bruts, trouvés dans les îles britanniques ».
On va dire que j’insiste, que ça vire à l’obsession, mais c’est pas moi qui ai commencé: le blog rôliste Held Action vient d’en remettre une couche sur la réédition de l’intégralité des Suppressed Trasmission de Ken Hite avec l’article Free the Suppressed Transmissions, lui-même relancé par une énième conversation sur RPG.net.
Ce n’est pas tous les jours que je me retrouve à chroniquer un ouvrage que je lis dans le cadre du boulot. Bon, déjà, j’en mets en page plus que je n’en lis, mais, dans le cas présent, Here Comes Everybody de Clay Shirky, spécialiste des réseaux sociaux et de leurs implications, rejoint à la fois une partie de mon travail et un intérêt personnel depuis, oh, à peu près le temps de mes premiers pas sur Internet. Ne cherchez pas: il y avait encore une Union soviétique à l’époque.
Dixième et dernier volume pour De Cape et de Crocs, une des séries majeures de la bande dessinée francophone de ces vingt dernières années: De la Lune à la Terre conclut de fort brillante manière la saga créée par Alain Ayroles et Jean-Luc Masbou. Je vous avais déjà pondu un article sur le précédent volume en parlant de clôture, mais cette fois-ci semble être la bonne – encore que.
Je sais, c’est mal: après Pyongyang, j’attaque Chroniques de Jérusalem de Guy Delisle sans passer par les autres cases et, du coup, c’est le bordel compl… euh, ben non, en fait. Certes, je suppose que si j’avais lu les autres ouvrages à peu près dans l’ordre, je verrais peut-être des choses différentes dans le dernier tome des aventures vécues de ce dessinateur québecois. Peut-être. J’en doute un peu, notez.
Les uchronies sur la Seconde Guerre mondiale ont visiblement le vent en poupe, ces temps – surtout si on y rajoute le contingent invraisemblable d’armes secrètes développées par les Allemands. Le premier tome de la bande dessinée Wunderwaffen, dessinée par Maza et scénarisée par Richard D. Nolane déboule donc dans la foulée de Et si la France avait continué la guerre, Le Grand Jeu, Spynest et des films Captain America et Iron Sky.
Je vous préviens tout de suite: le lien entre le héros de la bande dessinée Casanova et le personnage historique vénitien est plutôt ténu, sinon que ça parle d’espionnage, de trahison et de sexe. Casanova Quinn est le fils du directeur d’E.M.P.I.R.E., un syndicat du crime qui règne sur notre planète à une époque plus ou moins contemporaine. C’est un voleur, un espion et un assassin, mais c’est surtout le mouton noir de la famille, là où sa sœur jumelle, Zephyr, est le meilleur agent de l’organisation.
En 1935, Ella Maillart, accompagnée du journaliste anglais Peter Fleming, part de Beijing (qu’on appelait encore à l’époque Pékin) en direction du Sinkiang, alors interdit aux étrangers pour cause de guerre civile (et d’autres grenouillages géopolitiques). Oasis interdites est le récit de ce voyage de plus de six mois.
C’est sur la foi d’un article paru dans BoingBoing que j’ai acheté, puis lu le manifeste One Way Forward signé Lawrence Lessig. Le sujet de ce court ouvrage est la corruption politique et une proposition d’une méthode pour régler le problème.
En 1932, Ella Maillart, jeune Suissesse assoiffée de grands espaces, parcourt l’Orient soviétique: Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan; elle écrit plus tard son récit de voyage, Des Monts célestes aux sables rouges.
Déjà cinq tomes avec ce Nanorigines et Freaks’ Squeele m’apparaît comme une de mes séries préférées, un délire construit à mi-chemin entre les univers de Harry Potter et d’In Nomine Satanis/Magna Veritas, le tout traité à la double sauce du manga shoujo et de l’humour décalé.
C’est au hasard de mes pérégrinations sur les stands de Zone franche que je suis tombé sur Salut Delcano!, de Raymond Milesi, le chaînon manquant entre la SF et San-Antonio.
Je ne suis pas un grand fan de Star Wars, mais ce qui m’amuse souvent plus, ce sont les parodies qui tournent autour, comme La Guerre du retour contre-attaque, un recueil de strips issus du webcomic français Yodablog.
Non, je n’avais jamais lu Pyongyang, le roman graphique de Guy Delisle, dessinateur québecois parti en Corée du nord pour superviser la production d’un dessin animé en 2001. Oui, j’ai un peu honte, mais un peu seulement.
Règle numéro 34: quel que soit le sujet, il en existe une version porno. Aucune exception. C’est une des multiples règles à laquelle Liz Kavanaugh, inspectrice de la police écossaise dans les années 2020, est confrontée quotidiennement dans Rule 34, le dernier roman de Charles Stross.
C’est sur les conseils d’Éric Nieudan qu’au milieu des frimas de saison, j’ai pris le chemin de la riante cité de Bagneux, l’édition 2012 de Zone franche Bagneux.
En ces temps où on parle beaucoup de culture, la lecture d’un ouvrage comme Mainstream, de Frédéric Martel, est un salutaire rappel à la réalité.
C’est via BoingBoing que j’ai découvert Witch Doctor, série de comics narrant les exploits du docteur Vincent Morrow, de son assistant Eric Gast et de son anesthésiste Penny Dreadful.
Sis dans l’Europe en 1881, That Darn Squid God, de Nick Pollotta et James Clay, est un délire victorien sur un thème qui m’est cher – le démontage de Cthulhu à l’arme lourde.
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