De Paul Féval, écrivain français du XIXe siècle, on connaît surtout Le Bossu, mais il a également écrit des ouvrages d’épouvante, tel ce « Ann Radcliffe contre les Vampires », paru en 1875 sous le titre « La Cité-Vampire » et republié par les Moutons Électriques dans leur label Les Saisons de L’Étrange, précédemment mentionné.
Jan Marcus Bodichiev est détective privé. Il opère à London, capitale de l’Empire anglo-russe au tournant de l’an 3000 et c’est son histoire que Viat et Olav Koulikov racontent – le second ayant récupéré les carnets du premier, son père, qui fut son assistant et ami – dans Mémoires d’un détective à vapeur.
Quand j’ai lu l’article de BoingBoing qui parlait du roman de Nisi Shawl, Everfair, j’ai tout de suite tilté sur les termes « steampunk », « Afrique », « socialistes ». Dans ce premier roman – l’autrice a écrit nombre de nouvelles, mais également un essai sur la diversité dans les littératures de l’imaginaire – il y a tout cela, et plus encore.
Enoch est un Kappa 16, un androïde de compagnie. Oh, pas de la dernière génération, c’est bien trop cher pour Tomas et Claire, le couple qui en fait l’acquisition pour les aider dans leur vie de tous les jours. Il faut dire qu’avoir un enfant autiste, ce n’est pas facile.
Au début des années 1940, alors que la guerre fait rage en Europe (et ailleurs), les États-Unis commencent à s’intéresser à l’utilisation militaire de l’atome. Parmi eux, un chimiste, Karl Cohen, parvient à convaincre le général Leslie Groves, coordinateur du projet, de privilégier une méthode permettant d’avoir une bombe rapidement. C’est le point de départ du roman uchronique The Berlin Project, de Gregory Benford.
Quand on parle de l’avenir, on parle souvent des technologies qui vont changer le monde ou de celles qui vont le transformer en pur cauchemar. C’est rare qu’un livre prenne le parti de faire les deux. Ce livre s’intitule « Soonish » et il est signé par Kelly et Zach Weinersmith.
Il y a pas loin de dix ans, je chroniquais dans ces pages un ouvrage que je qualifiais d’OVNI: « L’Insurrection qui vient ». Aujourd’hui, je m’attaque à sa « suite », « À nos amis », toujours signée par ce mystérieux « Comité invisible ».
Remanence, de Jennifer Foehner Wells, est un roman de science-fiction qui fait suite à Fluency, que j’avais chroniqué en ces pages, avec une conclusion entre enthousiasme et déception. Je dois avouer que cet enthousiasme est quelque peu retombé à la lecture de ce deuxième tome.
J’ai coutume de dire que le monde est rempli de classiques que je n’ai jamais vus, lus ou entendus. La Horde du Contrevent, roman d’Alain Damasio, semble faire partie de cette catégorie, si j’en juge par le nombre de gens que je connais qui l’ont lu. Il était donc temps de combler cette lacune-ci.
Je viens de réaliser que Insistence of Vision est le deuxième bouquin de David Brin que je me tape en l’espace d’un mois. C’est Gromovar qui, il y a presque deux ans, en avait fait une critique enthousiaste et qui m’a incité à le commander.
Je n’aime pas les zombies, j’ai un intérêt très limité pour les licornes, expliquez-moi donc pourquoi je me suis retrouvé à lire l’anthologie Zombies vs Unicorns, présentée par Holly Black (Team Zombie) et Justine Larbalestier (Team Unicorn)?
Qui parmi mes lecteurs ont lu la Bible? Vraiment lu, j’entends: l’Ancien et le Nouveau Testament, tous les livres évangiles et autres textes divers. Peu, j’imagine. C’est un peu pour ceux-ci que Mark Russell (Too Much Coffee Man) a écrit God Is Disapppointed in You, un ouvrage qui, en gros, réécrit le canon chrétien sans les bouts chiants.
Dernière fournée en date du Prix Mille Saisons, organisé par Le Grimoire, le recueil Tombé les voiles contient une vingtaine de nouvelles sur toute la gamme des littératures de l’imaginaire: du fantastique contemporain, du med-fan, du steampunk, de la science-fiction et pas mal de mélanges et de bizarreries somme toute assez réjouissantes.
Yirminadingrad. Une cité entre Asie et Europe, quelque part dans l’ancien Caucase soviétique, cartographiée originellement par Léo Henry et (feu) Jacques Muchielli, dont j’avais vaguement entendu parler au hasard de mes contacts et que j’ai découvert via Adar, quatrième livre de la série, offert par Laurent Kloetzer – qu’il en soit ici publiquement remercié!
Jerry Beche est le dernier homme vivant sur une Terre dévastée par une arme biologique. Un jour, alors qu’il va vérifier ses éoliennes, il remarque des traces de bottes dans la neige. Ce début de Extinction Game, de Gary Gibson, est tellement un cliché que même le protagoniste le note. La suite de ce roman, par contre, est nettement moins banale.
Dans un avenir mal défini, mais définitivement cyberpunk et déglingué, Kal vivote de petits boulots à la légalité discutable: piratage informatique, intrusion, intimidation, tout ce qui peut lui rapporter de quoi payer bouffe et médocs. Et, quand son esprit vagabonde, il « commute », se projetant dans un univers virtuel de fantasy. C’est le point de départ de Les Commutants, roman de Nicolas Alucq.
Alexandra Milael Noble, baronne par naissance et aventurière par peur de l’ennui, se retrouve à affronter les derniers avatars mécaniques de l’inventeur fou qu’elle avait tué jadis. C’est, en une phrase, le résumé de ce court roman Les Sempiternels d’Aude Reco.
Et si, dans un avenir proche, la Terre recevait un message extraterrestre et que ce message remettait en cause de façon fondamentale le concept de sapience et de civilisation? C’est, dans les grandes lignes, le principal de Existence, gros roman de David Brin.
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