Petite piqûre de rappel aux ceusses qui n’ont pas vu mes quelques 167 messages sur ce sujet, ces derniers jours: aujourd’hui, c’est le Ray’s Day, fête de la lecture, des lecteurs et des auteurs. C’est même la première du genre, lancée par Neil Jomunsi et soutenue par un certain nombre d’auteurs – dont votre serviteur.
Je ne sais pas ce qu’il y a dans l’air, ces temps-ci, mais une véritable frénésie de remixage oldfieldien semble s’être emparée de plusieurs musiciens. Dernier en date, le sieur Robert Reed, qui nous livre avec Sanctuary une réinterprétation des thèmes musicaux du maître, période 1974-1982.
Que peut bien réunir, dans le Londres de la fin du XIXe siècle, une jeune fille de bonne famille, un gentleman explorateur et son serviteur africain, un médecin-légiste et un as de la gâchette américain? Des histoires horribles, bien entendu, les fameux Penny Dreadful, fascicules dégoulinant d’hémoglobine qui donnent son nom à cette série courte (huit épisodes d’une heure).
Il y a cinq minutes, j’ai finalement reposé The Armageddon Rag, de Georges R.R.Martin. Oui, ce Georges R.R. Martin. Pour la plupart des gens, c’est l’auteur de la série Game of Thrones; pour moi, c’est l’auteur de The Armageddon Rag.
S’il y a bien un passage obligé pour le geeks cet été, c’est sans aucun doute ce Guardians of the Galaxy, nouvel opus cinématographique à grand spectacle de l’univers étendu Marvel. Et je vais tout de suite briser le suspens: il est bien. Pas exceptionnellement méga-génial-de-la-triple-mort, mais bien.
Ceux qui suivent mon blog suivent souvent celui de Psychée et ceux qui suivent le blog de cette dernière auront noté que, récemment, elle s’est lancée dans l’écriture d’un roman intitulé Les Chants de Loss. Elle vient de lancer un site spécialement pour ce projet de roman de fantasy/davincipunk.
Habitats provisoires La quantité proprement ahurissantes de réfugiés qu’ont causé les deux dernières guerres mondiales ont forcé les ingénieurs à chercher des solutions nouvelles pour les villages de tentes. C’est dans ce contexte qu’est apparu, dans les années 2030, le… Continue Reading →
Régulièrement, la fort mal nommée Union démocratique du centre se rappelle à notre mauvais souvenir en lançant des projets spectaculairement nauséabonds et/ou stupides. Récemment, à côté d’un énième référendum sur l’asile, ils ont demandé que la Suisse cesse de respecter les traités internationaux s’ils interfèrent avec la loi suisse.
Cela faisait un petit moment que j’avais envie de regarder Que ma joie demeure!, le DVD du spectacle d’Alexandre Astier sur Johann Sebastian Bach. Pour finir, c’est la chronique de Thias qui m’a poussé à l’imposer à ma dame, en lieu et place des rediffusions des séries semi-ringardes coutumières du dimanche après-midi.
Je me disais bien que ça ne pouvait pas durer: après deux mois exceptionnels, le bilan Flattr pour ce mois de juillet 2014 est de nouveau en léger déficit, avec €13.88 de revenus pour €15 de dons. Dans le même temps, je soupçonne qu’au vu de l’habituelle baisse de fréquentation des mois d’été, ce n’est pas très étonnant.
J’avoue que ce n’est pas sans une certaine appréhension que je me suis laissé entraîné à une séance de rattrapage DVD pour Ice Age 4: Continental Drift. Non que les trois premiers films n’étaient pas bons, mais c’est précisément ce qui me fait peur: vous vous souvenez d’un film numéroté « 4 » qui tenait debout, vous? Et non, Star Wars: A New Hope ne compte pas.
Ah, Saga! Toute ma jeunesse… Du coup, quand sort un nouvel album, comme ce Sagacity, je suis de nouveau tout fébrile – et souvent un peu déçu. Mon problème, c’est que les Canadiens ont somme toute assez peu évolué depuis ces quinze dernières années. À l’écoute de cet album, j’en viens même à me demander s’il ne faut pas parler d’auto-pastiche.
Autour du premier avril, emboîtant le pas à une série de délires facebookiens de Romain d’Huissier, j’annonçais que j’allais, cette année, travailler sur un projet qui ne serait pas en rapport avec Tigres Volants. Rires dans l’assistance.
The Machine et Replacements, les deux albums de Hibernal, ne sont pas vraiment des albums de post-rock; ce ne sont pas vraiment la musique de films qui n’existent pas non plus, ni des audiobooks de science-fiction. C’est un peu tout cela à la fois.
Dans la série « que vais-je bien pouvoir dire de cet album? », aujourd’hui c’est au tour de Wanted, le dernier album du groupe allemand de néo-prog RPWL. Comme souvent, le problème est que l’album n’est pas assez mauvais pour que je le descende en flammes, pas assez moyen pour que je l’ignore et pas assez bon pour que je l’encense.
La Fédération française de jeux de rôles, organise le World Contest French RPG, un concours où les lecteurs sont invités à voter pour leurs jeux français préférés. Tigres Volants est sélectionné pour la deuxième phase.
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