Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Year 2014

Jambalaya Window and the Midwest Lover: Ambivalent

Je ne sais pas comment fait Jean-Christophe, de Neoprog, pour dégoter des trucs aussi improbables que ce Ambivalent, signé Jambalaya Window and the Midwest Lover, mais je dois avouer ne pas avoir grand-chose à redire sur ce genre de découverte, surtout que c’est gratuit (truc à ne pas rajouter: « mais ça les vaut! »).

Même les Siyani font du vélo!

Même les Siyani font du vélo!

Même les Siyani font du vélo! Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce modèle est certes inspiré de formes que l’on retrouve plus volontiers chez les Siyani ou les Eyldar (qui prennent des produits siyansk) que, mettons, en… Continue Reading →

Erdorin 2.0, bientôt sur cet écran

D’ici au 1er mars, une nouvelle section « Fiction » apparaîtra sur le Tigres Volants Central, avec des textes que j’ai écrits (moi et d’autres, d’ailleurs) ces dernières années.

Erdorin: À la recherche de la suite perdue

Il y a très longtemps – c’était encore le XXe siècle – Psychée, Jess et moi-même lancions un projet de bande dessinée dans l’univers de Tigres Volants: Erdorin, chroniques de l’Arbre-Monde. Ceux qui ont suivi l’affaire vont sans doute, à ce stade, hocher la tête d’un air triste, entendu, ou les deux.

Flattr: Bilan pour janvier 2014

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Quinze euros redistribués, quatorze euros (et un centime) reçus – malgré un quasi-record de clics (34) et de donateurs uniques (17) -, cette année 2014 sur Flattr commence à la fois bien et de façon décevante. Bien pour le revenu, mais décevant par rapport aux dons. Je finirai un jour par m’y faire, je suppose.

Ihsahn: Das Seelenbrechen

Bon, c’est officiel: si le black métal progressif n’existait pas encore (ce dont je doute fort, après avoir appris que quelqu’un avait créé un groupe de Vegetarian Progressive Grindcore), Ihsahn vient de l’inventer avec ce nouvel album, intitulé Das Seelenbrechen (« rupture de l’âme », en français).

Apocalyptica: Wagner Reloaded (Live in Leipzig)

Résumons: Apocalyptica est un groupe finlandais qui fait du métal avec des instruments classiques – en l’occurrence, quatre violoncelles (plus une batterie, mais ça ne compte pas). Dans ce Wagner Reloaded, ils font du classique à la sauce métal, mais avec des instruments classiques et un orchestre symphonique. Et une batterie.

La légèreté redouble

Les résolutions de début d’année, c’est un peu comme les promesses électorales: elles n’engagent que ceux qui y croient. Un an après mon second article sur l’impératif de légèreté que je m’étais imposé, force m’est de constater qu’une fois de plus, le bilan est mitigé.

Empowered, tome 8

Avec ce huitième tome de sa série de superhéro(ïne)s décalée et érotique *Empowered*, Adam Warren continue à développer son univers particulier, reprenant les codes des superhéros à sa sauce, faite de post-modernisme, de réflexions transhumanistes et de jeux à base d’uniformes idiots et de cordes à nœuds (oui, ce modèle aussi).

Deathmøle: Permanence

_Permanence_ est le nouvel album de *Deathmøle*, le groupe de post-métal qui n’existait pas, sauf que si quand même un peu. Explications: c’est un groupe fictif, inventé par Jeph Jacques dans son webcomic _Questionable Content_, mais pour lequel l’auteur écrit quand même des morceaux. D’après mes calculs, c’est quand même son huitième album.

Nümph: Theories of Light

Les groupes italiens nous ayant plutôt habitué à une fragrance particulière du rock progressif dinosaurien ou du métal symphonique à grand spectacle, il faut doublement saluer Nümph, d’une part pour explorer les rivages du métal progressif et, d’autre part, pour le faire avec brio via ce Theories of Light d’excellente tenue.

« Le T’Sank », d’Alexis Flamand

*_Le T’Sank_*, premier tome du « Cycle d’Alamänder » signé Alexis Flamand, m’a chaudement été recommandé par un mien ami du nom de Dimitri Pawlowski (on se croise genre deux fois l’an, en conventions). Le fait qu’il travaille aux Éditions de l’Homme Sans Nom, qui publie ledit cycle, n’est sans doute pas un hasard total.

Donjon & Dragoniversaire

Il y a quarante ans – janvier 1974 – paraissait la première édition de Dungeons & Dragons et, avec lui, le jeu de rôle ludique tel que nous le connaissons, à quelques détails près. Sur BoingBoing, le journaliste Ethan Gilsdorf a écrit un article intitulé At 40 Years Old, Dungeons & Dragons Still Matters, dans lequel il revient sur cet anniversaire.

L’usage de l’humour

Aujourd’hui, j’avais une autre idée de billet (qui viendra vendredi prochain), mais est apparu sur mon radar un article assez ancien, intitulé L’humour est une arme, publié sur le fort bien nommé blog L’égalistarisme c’est pas ce que vous croyez! (c’est vachement mieux).

Russian Circles: Memorial

En matière de post-rock, même si le genre est un peu fermé et en manque d’évolution, il y a tout de même une large gamme d’approches, de la plus calme à la plus brutale. Les Américains de Russian Circles sont plus proches de la seconde, comme on peut le constater à l’écoute de leur très bon nouvel album, Memorial.

Quelques uchronies à suivre

Depuis quelques temps, au détour d’une discussion sur un autre forum uchroniques (celui de 1940, la France continue), je me suis mis à suivre le forum anglophone Alternate History, qui compte une belle brochette de cinglés de talents et, du coup, une impressionnante collection d’histoires alternatives.

« Overclocked », de Cory Doctorow

Si je devais résumer Overclocked, recueil de nouvelles de science-fiction signé Cory Doctorow, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon. Comme souvent avec cet auteur, en fait. Disons plus simplement qu’aucune des six nouvelles ne m’a laissé une impression impérissable – à part peut-être « When Sysadmins Ruled The Earth », qui m’a causé un bout d’insomnie, mais seulement parce qu’il y atomise Genève et tue des chats.

Alcest: Shelter

Il était une fois, un jeune homme appelé Neige, qui, avec son compère Winterhalter, faisait du black-métal. Un beau jour, il décida de créer un groupe qui s’appelait Alcest et qui essayait de faire la musique la plus diamétralement opposée que possible. Au cours des années, il créa des albums où les accents de métal disputaient aux élans aériens et, finalement, il créa Shelter.

Rhapsody of Fire: Dark Wings of Steel

Je pense que l’expression qui, pour moi, définit le mieux les albums de Rhapsody of Fire – à commencer par le dernier en date, Divine Wings of Steel – c’est « plaisir coupable ». Objectivement, le métal de l’ex-bande à Luca Turilli n’est pas très original, pas toujours très fin ni même très bon, mais il sonne juste à toute personne qui aime le métal symphonique, voire le métal tout court.

« We Are All Weird », de Seth Godin

Normal n’est plus la norme, la masse n’est plus si massive: tels sont les deux points saillants de We Are All Weird, court manifeste signé Seth Godin, qui observe notre société contemporaine (le livre est paru en 2011) sous l’angle du normal et du bizarre.

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