Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce modèle est certes inspiré de formes que l’on retrouve plus volontiers chez les Siyani ou les Eyldar (qui prennent des produits siyansk) que, mettons, en Europe soviétique, mais comme il n’y a guère que des Terriens pour utiliser des vélos, celui-ci a été conçu à Copacabana.
Il comporte un moteur d’assistance électrique – indispensable pour affronter certaines rues de la Ville libre – et un système d’entraînement sans chaîne, ce qui simplifie l’entretien (surtout quand on va à la plage). Il peut aussi se transformer en vélomoteur et recharger sa batterie par l’action de l’utilisateur.
Dans notre réalité, ce concept, vu sur Inhabitat, est conçu par le studio INgSOC, Edward Kim et Benny Cemoli.
Même les Siyani font du vélo! Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce modèle est certes inspiré de formes que l’on retrouve plus volontiers chez les Siyani ou les Eyldar (qui prennent des produits siyansk) que, mettons, en… Continue Reading →
D’ici au 1er mars, une nouvelle section « Fiction » apparaîtra sur le Tigres Volants Central, avec des textes que j’ai écrits (moi et d’autres, d’ailleurs) ces dernières années.
Il y a très longtemps – c’était encore le XXe siècle – Psychée, Jess et moi-même lancions un projet de bande dessinée dans l’univers de Tigres Volants: Erdorin, chroniques de l’Arbre-Monde. Ceux qui ont suivi l’affaire vont sans doute, à ce stade, hocher la tête d’un air triste, entendu, ou les deux.
Quinze euros redistribués, quatorze euros (et un centime) reçus – malgré un quasi-record de clics (34) et de donateurs uniques (17) -, cette année 2014 sur Flattr commence à la fois bien et de façon décevante. Bien pour le revenu, mais décevant par rapport aux dons. Je finirai un jour par m’y faire, je suppose.
Les résolutions de début d’année, c’est un peu comme les promesses électorales: elles n’engagent que ceux qui y croient. Un an après mon second article sur l’impératif de légèreté que je m’étais imposé, force m’est de constater qu’une fois de plus, le bilan est mitigé.
Avec ce huitième tome de sa série de superhéro(ïne)s décalée et érotique *Empowered*, Adam Warren continue à développer son univers particulier, reprenant les codes des superhéros à sa sauce, faite de post-modernisme, de réflexions transhumanistes et de jeux à base d’uniformes idiots et de cordes à nœuds (oui, ce modèle aussi).
*_Le T’Sank_*, premier tome du « Cycle d’Alamänder » signé Alexis Flamand, m’a chaudement été recommandé par un mien ami du nom de Dimitri Pawlowski (on se croise genre deux fois l’an, en conventions). Le fait qu’il travaille aux Éditions de l’Homme Sans Nom, qui publie ledit cycle, n’est sans doute pas un hasard total.
Il y a quarante ans – janvier 1974 – paraissait la première édition de Dungeons & Dragons et, avec lui, le jeu de rôle ludique tel que nous le connaissons, à quelques détails près. Sur BoingBoing, le journaliste Ethan Gilsdorf a écrit un article intitulé At 40 Years Old, Dungeons & Dragons Still Matters, dans lequel il revient sur cet anniversaire.
Aujourd’hui, j’avais une autre idée de billet (qui viendra vendredi prochain), mais est apparu sur mon radar un article assez ancien, intitulé L’humour est une arme, publié sur le fort bien nommé blog L’égalistarisme c’est pas ce que vous croyez! (c’est vachement mieux).
Depuis quelques temps, au détour d’une discussion sur un autre forum uchroniques (celui de 1940, la France continue), je me suis mis à suivre le forum anglophone Alternate History, qui compte une belle brochette de cinglés de talents et, du coup, une impressionnante collection d’histoires alternatives.
Si je devais résumer Overclocked, recueil de nouvelles de science-fiction signé Cory Doctorow, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon. Comme souvent avec cet auteur, en fait. Disons plus simplement qu’aucune des six nouvelles ne m’a laissé une impression impérissable – à part peut-être « When Sysadmins Ruled The Earth », qui m’a causé un bout d’insomnie, mais seulement parce qu’il y atomise Genève et tue des chats.
Il était une fois, un jeune homme appelé Neige, qui, avec son compère Winterhalter, faisait du black-métal. Un beau jour, il décida de créer un groupe qui s’appelait Alcest et qui essayait de faire la musique la plus diamétralement opposée que possible. Au cours des années, il créa des albums où les accents de métal disputaient aux élans aériens et, finalement, il créa Shelter.
Normal n’est plus la norme, la masse n’est plus si massive: tels sont les deux points saillants de We Are All Weird, court manifeste signé Seth Godin, qui observe notre société contemporaine (le livre est paru en 2011) sous l’angle du normal et du bizarre.
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