Radio-Erdorin, saison 2, épisode 9
Bon, ben cet épisode de Radio-Erdorin, pour septembre 2019, ne s’est pas fait tout seul. Déjà, il est en retard. La faute à une grosse collision d’agenda.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Bon, ben cet épisode de Radio-Erdorin, pour septembre 2019, ne s’est pas fait tout seul. Déjà, il est en retard. La faute à une grosse collision d’agenda.
Autant le montage de l’épisode hors-série avait été compliqué, la faute à une tonne de rushes à gérer et une écriture qui aurait pu être plus serrée, autant ce nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour les chroniques d’août 2019, s’est avéré plus simple.
Je sais, je vous ai déjà parlé du Festival Octopode: un gros article de blog rien que pour lui, suivi (plus récemment) d’une grosse cargaison de photos. Pourquoi revenir là-dessus? Eh bien parce que Radio-Erdorin. Ça me paraît être une raison suffisante.
Ce qui est bien, avec les vacances, ben, c’est que c’est les vacances. Ce qui est moins bien avec les vacances c’est que j’ai plein d’excuses pour ne pas bosser sur le nouvel épisode de Radio-Erdorin. Et, donc, à force d’avoir plein de temps, je finis par être en retard.
Eh oui, on n’est même pas le 4 du mois et le nouvel épisode de Radio-Erdorin, celui de juin 2019, est désormais en ligne! Vous pouvez le retrouver sur YouTube et sur Peertube.
Il faut croire que la parution en presque-avance de l’épisode d’avril était un accident de parcours, une anomalie statistique, car en ce 10 juin (date à laquelle j’écris cet article), l’épisode de mai 2019 de Radio-Erdorin est en cours de chargement.
À l’heure où j’écris ces lignes, on est le 3 mai et j’ai déjà finalisé et mis en ligne l’épisode d’avril de Radio-Erdorin. Il faut croire que j’apprends de mes erreurs.
Après les derniers épisodes, je caressais le secret espoir d’avoir réussi à maîtriser l’inflation en durée des épisodes de Radio-Erdorin. Las! ce mois de mars a mis à bas cette vaine espérance avec un épisode de vingt-six minutes!
Tiens, un billet de samedi qui n’est pas un Reste du samedi – ou peut-être bien que si, en fait. Bref, pris d’un coup de folie passagère, j’ai décidé de faire une petite vidéo de deux minutes pour présenter Radio-Erdorin.
Bon, j’admets: pour l’épisode de février de Radio-Erdorin, je suis en retard. Moins en retard que je ne l’aurais cru – je pensais ne pas pouvoir mettre le bazar en ligne avant lundi – mais en retard quand même.
Eh oui, avec cet épisode de janvier 2019 commence la deuxième saison de Radio-Erdorin. Je suis aussi surpris que vous: si on m’avait dit, en janvier passé, que non seulement je ferais des chroniques vidéo, mais en plus que j’aimerais ça, j’aurais probablement ricané.
Je vous l’avais promis, je l’ai fait: un nouvel épisode de Radio-Erdorin est en ligne, sur YouTube et sur Peertube. Comme annoncé, il s’agit d’un hors-série – oui, encore un – qui reprend dans les grandes lignes le billet sur l’Album de l’année 2018.
La lose, c’est quand tu annonces au début de ton épisode qu’il va être plus court que la dernière fois et qu’à la fin du montage, il fait vingt-cinq minutes. Eh oui, le nouvel épisode de Radio-Erdorin pour décembre 2018 est dans la boîte et, malgré tous mes efforts, il fait encore une taille pas raisonnable.
On est lundi, mais de peu: minuit passé, l’épisode de novembre de Radio-Erdorin est enfin “dans la boîte” et en cours de chargement sur YouTube et sur Peertube. Ce fut laborieux.
Sur les talons de l’épisode hors-série du mois passé, voici le sixième épisode de Radio-Erdorin, consacré aux chroniques musicales d’octobre 2018. Il est disponible sur YouTube et sur Peertube, avec sa playlist d’accompagnement.
L’annonce commence à virer à la routine: le nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour septembre 2018, est désormais en ligne, sur YouTube et sur Peertube (attention, nouvelle adresse).
Si vous habitez en Suisse romande et que vous n’avez jamais entendu parler de Polymanga, la convention geeko-japonaise annuelle qui prend ses quartiers à Montreux le week-end de Pâques, c’est que vous habitez sous un gravillon au fin fond de la Brévine ou de la campagne genevoise.
Récemment, un de mes amis m’a posé une question sur le format de mes chroniques musicales qui m’a quelque peu plongée dans l’embarras. En même temps, c’est aussi à cela que servent les amis.