Dans Good Omens, c’est bientôt la Fin des Temps, l’Apocalypse (en édition populaire), l’Antéchrist qui revient et la confrontation ultime entre Anges et Démons. Sauf pour deux spécimens, Aziraphale et Crowley (respectivement), qui ne sont pas vraiment pressés d’en découdre.
Une génération après le « Step Day », qui a vu une infinité de Terres parallèles s’ouvrir à l’humanité, Joshua Valienté repart à l’aventure pour The Long War, deuxième tome de cette saga signée par Terry Pratchett et Stephen Baxter, qui devrait en compter cinq au total (à l’heure où vous lirez ces lignes, le troisième, The Long Mars, sera peut-être déjà paru).
Dans un futur très proche, un savant disparaît, les plans d’une machine bizarre apparaissent sur Internet et, soudainement, une grande partie de l’humanité s’élance à la découverte de Terres parallèles, vierges ou peu s’en faut. Tel est le point de départ de The Long Earth, écrit par Stephen Baxter et Terry Pratchett.
Cette chronique est à placer sous le signe de la honte: d’une part, Strate-à-gemmes est le premier livre de Terry Pratchett que je lis (Good Omens, écrit avec Neil Gaiman, ne compte pas vraiment), d’autre part, il a fallu que Fulgan me le colle d’autorité dans les mains pour que je l’ouvre (depuis qu’il fait de la musculation, je ne me sens pas trop de le contrarier) et, pour ne rien arranger, je l’ai lu en français.
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