Une streameuse doit faire face à une armée de trolls. Dans le jeu, mais aussi en vrai. C’est le sujet de Don’t Read the Comments, roman signé Eric Smith.
Au milieu des témoignages #metoo ou #balancetonporc, j’ai vu passer un essai venu du blog Crêpe georgette intitulé Du serial lover au serial rapist ; comprendre la sexualité pour comprendre les violences sexuelles. Son contenu est presque aussi glaçant: si on regarde la sexualité (en Occident, tout du moins), elle est intimement – sans jeu de mot liée – à la violence.
Vous avez le droit de dire que je suis un peu trop sur le problème, mais il se trouve que mes dernières réflexions sur les nazis, Internet, les communautés numériques m’a amené à d’autres considérations sur la notion de communautés toxiques.
Hier, Marie.Charlotte, du site MadmoiZelle, a eu la brillante idée de proposer une transcription et une traduction de l’appel d’Emma Watson aux « féministes introvertis ». « Brillante idée » de mon point de vue, car je suis plus sensible à l’écrit qu’à l’oral et c’est le genre de texte que je préfère avoir sous les yeux pour mieux y réfléchir.
Comme souvent avec Charlie-hebdo, le titre de cet hors-série À bas la pub! tient lieu de la profession de foi. Personnellement, je ne peux qu’approuver, même si au final j’ai un sérieux sentiment de trop peu, une fois terminée la lecture.
Y’a pas, dans nos sociétés, c’est quand même vachement cool d’être (avec ±10% d’erreurs expérimentales) un mec blanc hétéro avec un boulot et des sous. C’est confortable. En fait, le seul gros problème, avec ce plan, c’est que j’ai aussi une conscience.
La question n’est certes pas nouvelle (le premier numéro de Di6dent en avait même parlé récemment), mais j’y repensais récemment via l’article de Du bruit derrière le paravent, intitulé Gamergirl, va me faire un sandwich: le jeu est-il un truc sexiste?
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