Alias échaudé craignant la bière tiède, c’est avec une réticence qui s’est avérée mal placée que j’ai fini par attaquer les fascicules Harry Dickson édités par le Carnoplaste et signés de la plume de Robert Darvel (qui n’avait d’ailleurs pas hésité à spammer ce même blog pour fourguer sa came; qu’il en soit, une fois n’est pas coutume, remercié).
Ce n’est peut-être pas très élégant de faire des comparaisons, mais, l’échaudage était dû en grande partie aux pastiches signés Gérard Dôle, qui m’avaient laissé une impression plus que mitigée. Dans le cas présent, je suis nettement plus convaincu par ces histoires, souvent abracadabrantes et facétieuses.