Old Man’s War, le premier roman de John Scalzi, c’est de la science-fiction militaire dans un contexte de space-opéra, avec une différence majeure: le héros, John Perry, s’engage dans les Forces de défense coloniales à l’âge de septante-cinq ans.
Cet hiver, j’ai enfin pu combler une lacune dans ma culture SF en (re)lisant l’intégrale de la série des Lensman, signée Edward Elmer Smith (plus connu sous le nom de « Doc Smith »). Lacune d’autant plus frustrante que j’en avais lu les trois premiers en français il y a très longtemps, parus dans une collection qui atteint aujourd’hui des sommets de rareté et dont je n’avais jamais pu trouver la suite.
La Sorcière de l’Ouest (sous-titré Astraea’s Testament) est un de ces animés dont on se demande assez régulièrement d’où il veut en venir, de quoi il parle réellement, voire, sérieusement, WTF quoi merde! Quelque part, c’est très japonais dans la tendance au nawak qui ne sait pas trop ce qui se veut.
Vous aurez peut-être noté que ce blog accueille pas mal de chroniques sous l’appellation « séance rattrapage DVD ». La raison en est que beaucoup de films – notamment des dessins animés – tendent à rester à l’affiche au ciné pendant trop peu de temps pour que je puisse les voir dans de bonnes conditions (une séance en VF 3D à 11 h du matin ne compte pas). C’est le cas de Brave, la production la plus récente des studios Pixar.
Cette fois-ci, si j’ai reçu pour Nawel les quatre premiers volumes de Judge Dredd, The Complete Case Files, un des monuments de la bande dessinées britannique et de la bande dessinée de science-fiction tout court, on va dire que c’est de la faute au site io9. Et aussi à un certain pote anglais de l’époque du CLIC, dont le nom rime avec « Martin Jennings », mais que je ne citerai pas ici; il se reconnaîtra.
Dans le petit monde des webséries SF ou fantastiques françaises, Le visiteur du futur est une des plus connues, mais manquait à mon palmarès. C’est désormais corrigé, grâce à l’indigence crasse des programmes télé en ces périodes de fêtes.
Vous vous attendiez à quoi? Bien sûr que je suis allé voir The Hobbit, sous-titré « An Unexpected Journey », ce premier film de la nouvelle trilogie signée par Peter Jackson d’après l’œuvre de Tolkien! Soyons clair: les mots clés sont « d’après » et ceux qui y vont pour voir une adaptation fidèle vont forcément être déçus.
Ça faisait longtemps que je n’avais plus acheté un jeu et l’annonce d’une version française de Apocalypse World, de Vincent D. Baker – soutenue par un bombardement publicitaire orbital de la part de son traducteur, Greg Pogorzelski – avait attiré mon attention.
Fractale (en non-japonais dans le texte) est un de ces animés intéressant par son principe de départ et frustrant par son développement. Il décrit un monde utopique, une terre régie depuis plusieurs siècles par un système informatique (Fractale, donc) créant un environnement illusoire, entre réalité virtuelle et réalité augmentée, mais où l’homme est devenu une créature sans volonté, dont les moindres désirs sont exaucés.
Entre l’arrivée de Steam et une sorte de frénésie de portage de jeux plus ou moins récents, je me suis retrouvé ces temps-ci avec une belle quantité de jeux vidéos bien sympa. Le dernier en date, c’est Borderlands 2, un croisement jeu de rôle/jeu de tir à la première personne (un peu comme Deus Ex) dans un univers SF/post-apo/western à mi-chemin entre Fallout et Firefly, mais avec beaucoup plus de flingues.
Maintenant que cette (littéralement) maudite campagne lupanar est terminée, bâchée, finie, poutzée, enterrée (oui, je suis un peu fatigué), il est temps de passer à autre chose. Genre, une campagne pour Tigres Volants. Non, pas une nouvelle, n’exagérons rien: je parle ici de reprendre l’écriture et/ou la mise au propre de « Devoir de mémoire« , la campagne sur laquelle j’avais travaillée avant de lancer Le Secret du Domaine des trois sources.
Ce n’est pas souvent que Le Matin, l’un des quotidiens sous-médiocres de Suisse romande, me fait rire. Volontairement, du moins. Et c’est encore plus rare que ce soit avec la page météo. Comme quoi il y a un début à tout.
C’est un peu le « ça, c’est fait » de l’année: les exemplaires de la « campagne lupanar » destinés aux souscripteurs sont enfin partis – ou vont l’être sous peu. Ce fut loin d’être simple, pour tout un tas de raisons sur lesquelles on (=je) a une part de responsabilités, mais une part seulement.
Il y a des coups de Cosmogun qui se perdent! J’avais déjà parlé il y a quelques temps sur la scandaleuse suspension par PayPal des paiements à des éditeurs de littérature érotique, cette fois-ci c’est l’éditeur de jeu de rôle Pulp Fever qui se voit puni… parce que les ventes de leur prochain jeu, Space Adventure COBRA, provoque un pic d’activité sur leur compte.
Dans la nuit du 11 au 12 décembre 1602, un groupe de mercenaires milanais, emmené par des nobles du Duché de Savoie, tente de prendre d’assaut la cité de Genève, au cours d’une opération soigneusement préparée – qui part en sucette par pur débol. Et si ce que les Genevois fêtent aujourd’hui sous le nom d’Escalade avait réussi? C’est l’idée sur laquelle je suis parti pour écrire une « u-chronique » de Genève, capitale d’un Duché, puis d’un Royaume de Savoie qui se maintient jusqu’à nos jours.
Le 10 juin 1791, alors que les révolutionnaires marchent sur les Tuileries, la famille royale s’évade en montgolfière. Mais Louis XVI, blessé par une balle perdue, meurt peu après l’atterrissage et la reine Marie-Antoinette, devenue régente, lance la contre-offensive avec l’aide d’un jeune et ambitieux général corse. Tel est le point de départ du dernier volume de la série Jour J: La Nuit des Tuileries.
Je dois avouer une fascination certaine pour la série Blake & Mortimer, créée par Edgar P. Jacobs, et son mélange d’enquêtes très british et d’éléments de science-fiction ou de fantastique. Les dernières livraisons ne m’avaient pas réellement enthousiasmé, mais avec le nouveau volume, Le Serment des cinq Lords, je suis déçu en bien, comme on dit en là par chez nous.
Je relaye ici une initiative très intéressante de Jérôme « Brand » Larré autour de son projet de traduction en français du jeu de rôle japonais Ryuutama (dont la souscription a explosé pas mal de records): il publie sur son blog les notes de conception de l’auteur de Ryuutama.
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