Je crois avoir déjà mentionné plusieurs fois que la variété francophone et moi, ce n’est pas le grand amour – plutôt “haine plus intense qu’un milliard de soleils”. Il y a des exceptions et il est assez ironique que, parmi celles-ci, il y ait un album intitulé “Mon grand amer”, par PYT.
Il y a vingt ans paraissait ce qui est sans doute le meilleur album de rock progressif suisse, j’ai nommé Vae Victis de Galaad. L’occasion pour moi de dépoussiérer la catégorie “Cabinet des curiosités” et vous parler de cette galette exceptionnelle.
OK, régulièrement, je vous fais le coup “je n’aime pas la chanson française, mais” agrémenté d’une excuse foireuse qui explique, non sans une mauvaise foi certaine, pourquoi ce chanteur français-là, je le supporte. Dans le cas de PyT et de son Carnet d’un visage de pluie, l’excuse en question est qu’il s’agit d’un chanteur suisse, qui n’est autre que Pierre-Yves Theurillat, le chanteur de Galaad et de L’Escouade.
Il est rare que, quand je parle de musique sur ce blog, je parle de morceaux isolés. Ou alors ce sont des concept-albums d’une heure. Je vais faire une exception avec PyT et Un temps inoubliable, extrait de son futur album prévu pour 2012.
Dans notre série “qui êtes-vous et qu’avez-vous fait d’Alias?” et histoire de faire un contraste amusant avec les deux derniers albums chroniqués, je vais vous parler du groupe suisse L’Escouade et de son album Confidences de mouches, que l’on peut difficilement qualifier autrement que de chanson française.
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