Bon, j’ai beau avoir daubé par deux fois cette semaine sur Prograchives et ses chroniques moubourratives, il m’arrive tout de même de découvrir par ce biais quelques pépites fort sympathiques, comme le groupe italien Mad Puppet, actif entre 1982 et 2001. Je vais vous parler ici de l’album King Laurin and his Rosegarden, mais sachez que toute leur discographie est disponible gratuitement sur leur site (italo-allemand et un peu toupourri).
Je crois l’avoir déjà dit une ou douze fois, si j’aime beaucoup le rock progressif, j’ai plus de mal avec le prog à chanteuse. Du coup, un album comme Nature’s Choir, tout récent opus du groupe finlandais Opus Symbiosis, me laisse des sentiments mitigés.
Si je vous dis que Moments, de IOEarth, est un album de néo-prog britannique, il y a de bonnes chances que – pour peu que vous vous intéressiez un peu au rock progressif, bien sûr – vous vous dites « encore? ». Je peux difficilement vous en vouloir, mais restez quand même un moment.
Je soupçonne qu’il faudrait que je lance une nouvelle section sur ce blog, intitulée « je n’aime pas X, mais… » – X étant, au choix, le rétro-progressif, les histoires de superhéros ou, comme dans le cas de Entertaining Angels, le nouvel album de Landmarq, le rock progressif à voix féminines.
La sortie du nouvel album de Izz, intitulé Crush of Night, n’a pas déchaîné chez moi des passions inextinguibles. Ceux qui se souviennent de la critique dythirambique que j’avais adressé au précédent, The Darkened Room, en seront peut-être étonnés, mais j’avoue que, depuis, l’enthousiasme est un peu retombé.
Overhead, groupe de rock progressif finlandais, est pour moi une découverte récente, puisque je n’ai acquis leur premier album, And We’re Not Here After All, qu’en mai de cette année. Du coup, je rattrape le temps perdu avec Of Sun and Moon, qui est leur dernier album en date, sorti il y a quelques semaines à peine.
J’avoue volontiers une petite faiblesse pour It Bites, groupe britannique qui, en son temps, savait faire un néo-prog très pop et pourtant irrésistible. Map of the Past, leur nouvel album, ressemble à une tentative pour « rentrer dans le rang » avec une approche plus classique du rock progressif, à commencer par sa forme: un concept-album.
Deuxième album pour le groupe espagnol – pardon: néerlando-catalan – de néo-prog Harvest, Chasing Time reprend en grande partie les recettes de Underground Community, leur précédent effort, en y rajoutant une bonne dose d’énergie. C’est une bonne nouvelle.
« Quand les hommes de cent trente kilos disent certaines choses, ceux de soixante les écoutent », faisait dire Michel Audiard à un de ses personnages. De même, quand un chroniqueur de Prog-résiste (connu sous le nom d’Acritarche) dit quelque chose, comme le fait qu’Overhead est un très bon groupe de néo-prog finlandais, le fan l’écoute et achète le premier album qui lui tombe sous l’iTunes, à savoir And We’re Not Here After All.
Ce coup-ci, c’est pas moi qui suis responsable du jeu de mot pourri qu’est cet album Veritas du groupe de néo-prog allemand Invertigo, album que je découvre grâce à la critique parue récemment sur Progressive Area. Bon, j’avoue que ça a un peu joué aussi.
C’est François qui va être content: son groupe préféré, Gazpacho, est de retour, avec March of Ghosts! Bon, blague à part, c’est en effet un nouvel album pour les Norvégiens néo-proggers et, sans trop de surprise, une sorte de concept album, cette fois sur une thématique spectrale, puisqu’on y parle esprits, fantômes et revenants.
J’aime bien RPWL. C’était déjà le cas avant, avec leurs albums World Through My Eyes et The RPWL Experience, ça l’était encore plus depuis leur prestation satirique au Night of the Prog et c’est un fait définitivement acquis avec Beyond Man and Time, leur nouvel album studio.
Niveau fréquentation de ce blog, je me rends bien compte qu’en chroniquant des albums de rock progressif réellement obscurs, comme ce Mind Travelling de Emerald Cave, je cherche, sinon la bagarre, du moins l’obscurité. Je le sais: j’ai recherché d’autres critiques, en vain.
Vous n’allez pas y couper: la comparaison entre Sceneries, le nouvel album de Sylvan, et leur fabuleux Posthumous Silence est beaucoup trop tentante. Même rock progressif tendance néo-prog, même style de concept-album, à peu près le même ton musical. Après deux albums studios plus plan-plan dans leur structure, mais musicalement plus variés, le groupe allemand reviendrait-il à ses fondamentaux?
Y’a pas: autant j’aime bien le métal à chanteuse – jusqu’à un certain point – autant le rock progressif à chanteuse, c’est beaucoup moins mon truc. Dernière victime: le groupe français Delusion Squared et, plus précisément, leur deuxième, sobrement intitulé II.
Against Reason, le dernier album des néo-proggers britanniques de Credo me rappelle énormément les tous débuts d’Arena, il y a plus de quinze ans.
C’est sur la recommandation de Prog-résiste que j’ai acheté l’album So Close and Yet So Far Away du groupe grec de rock progressif Verbal Delirium.
Ceux qui suivent mon blog depuis un moment savent que j’entretiens une relation ambiguë avec le groupe néerlandais Knight Area, dont j’apprécie l’enthousiasme à défaut de la musique.
Ah, Arena! Un des grands noms du prog britannique, tendance néo, qui fait son grand retour avec The Seventh Degree of Separation. Alors pourquoi ne suis-je pas plus content?
Leur précédent album ne m’avait que moyennement impressionné, leur performance en concert était plus enthousiasmante, voici que Haken revient avec un nouvel album, intitulé Visions, qui remet les pendules au milieu du village – ou quelque chose dans ce goût-là.
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