Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag metal symphonique

Serenity: Lionheart

En règle générale, j’avoue volontiers une tendresse coupable pour les albums de power-metal symphonique, malgré tout leurs aspects kitsch et leurs claviers « pouët-pouët-licorne » – selon l’expression d’une amie. Pourtant, j’ai du mal avec Lionheart, dernier opus en date de Serenity.

Moonspell: 1755

Il paraît qu’à ses débuts, Moonspell, c’était quelque chose de brutal. Moi qui n’ai découvert le groupe qu’assez récemment – avec Alpha Noir – j’ai plutôt été attiré par son côté mélodeath et par l’hommage massif à Sisters of Mercy sur le précédent album, Extinct. Ce 1755 est d’une autre trempe et, pour certains, c’est une forme de retour aux sources.

Septicflesh: Codex Omega

Le hasard de l’ordre alphabétique dans mes listes de lecture fait que je retrouve parfois des albums qui se ressemblent. Ainsi, ce nouvel album de Septicflesh, Codex Omega, situé juste à la suite du dernier opus de Samael. Dans le genre « suite de délicatesses », on ne fait pas beaucoup mieux.

Samael: Hegemony

Il faut vous avouer un truc: nous autres Suisses, on n’est pas vraiment des gens fréquentables. Oh, niveau apparences, on fait le job, mais dans les coulisses, on a des banques qui blanchissent l’argent de la mafia, des entreprises qui exploitent les enfants et les conflits locaux, et, musicalement, on est parfois plus dans le genre de ce Hegemony, nouvel album de Samael.

Todesbonden: Sleep Now, Quiet Forest

Vous vous souvenez peut-être que, pour la chronique de Mobius il y a quelques jours, j’avais mentionné que le groupe m’avait été recommandé par une double chronique de Fred Bezies. L’album Sleep Now, Quiet Forest, de Todesbonden, est le seconde recommandation de cette chronique, également en metal symphonique.

Mobius: The Line

Il y a un an, mon confrère en blogueries Fred Bezies s’était fendu d’une double chronique, où il évoquait notamment le groupe de métal progressif symphonique français Mobius et son album The Line en termes fort élogieux. Après écoute, je peux lui donner partiellement raison.

Persona: Metamorphosis

Un groupe de metal tunisien avec une chanteuse serbe, ce n’est pas banal! C’est grâce à Fred Bezies que j’ai découvert Persona et son dernier album, Metamorphosis – que j’ai acheté en ligne après avoir oublié l’avoir commandé en financement participatif.

Black Yet Full of Stars

Avec un nom pareil, on pourrait croire que Black Yet Full of Stars est un groupe de black-metal, voire de post-rock. Il n’en est rien: ce fort réussi premier album, repéré l’année passée sur Angry Metal Guy est un bel exemple de power-metal classique.

In Tormentata Quiete: Finestatico

J’avais commencé cette semaine avec Eva Can’t et je la termine avec un autre groupe italien de chez My Kingdom, In Tormentata Quiete, qui tord les frontières du metal progressif avec son nouvel album, Finestatico.

Pyramaze: Contingent

Dans la vaste et fractale galaxie des sous-genres de metal, il existe une nébuleuse de groupes qui opèrent entre le power-metal mélodique, le metal symphonique et le metal progressif. Parmi ceux-ci, les Danois de Pyramaze proposent un nouvel album, intitulé Contingent, qui est très réussi sans être révolutionnaire.

Aephanemer: Memento Mori

Tiens, ça faisait un moment que je n’avais pas passé un big up à Fred Bezies pour ses découvertes musicales. L’écoute de Memento Mori, premier album du groupe toulousain de death mélodique Aephanemer, est une excellente occasion pour rattraper mon retard en ce domaine.

Ayreon: The Source

Question existentielle: quand on s’auto-proclame prog-head, risque-t-on des représailles si on dit qu’on est un peu déçu par le nouvel album d’Ayreon? Non, parce que ce n’est pas que The Source est mauvais, mais il peine à m’enthousiasmer. Et du coup, j’ai un peu peur de me retrouver en porte-à-faux avec toute la progosphère.

Gorgon: Titanomachy

Depuis le temps, vous devriez connaître mes petites lubies: quand on me recommande un album, j’ai tendance à acheter d’abord et écouter ensuite. J’avoue, ce n’est pas toujours une stratégie gagnante, mais dans le cas de Titanomachy, de Gorgon, ça s’est avéré être une plutôt bonne idée. Pour le coup, la recommandation ne vient pas de Fred Bezies – même s’il en a aussi parlé – mais d’un des lecteurs du blog, Alopex.

Les brefs du samedi: Assign Fate / Shadowrise / WOLVE

Pour ce samedi, j’ai trois EP dans ma besace: Assign Fate, Shadowrise et WOLVE. Des vrais EP, hein, pas des « EP » de quarante-cinq minutes, façon groupe de post-rock français… Bref, c’est bref, mais ça bouge beaucoup.

Dark Sarah: The Puzzle

Dans le monde du metal symphonique à voix féminine, il y a les groupes qui cherchent à se démarquer de Nightwish et ceux qui, comme Dark Sarah, se disent que fuck that, ils vont faire un album qui s’appelle The Puzzle et qui est exactement comme Nightwish, mais en mieux. En plus, ils poussent le vice jusqu’à être finlandais, aussi.

Sirenia: Dim Days of Dolor

On pourrait se poser la question si, avec Dim Days of Dolor, Sirenia a voulu écrire l’épitaphe de cette année 2016 qui s’achève. Bon, en même temps, je suppose que les personnes qui ont vécu 1942 doivent quelque peu ricaner.

Les brefs du samedi: Les Discrets / Leaves’ Eyes / Skeleton King

Le hasard ayant voulu que j’aie dans ma liste d’écoute exactement trois EP, j’en profite pour faire un tir groupé, façon « Restes du samedi », mais à la teinte metal, puisqu’on y trouve Les Discrets, Leaves’ Eyes et Skeleton King. Là, ce n’est pas la qualité, mais plutôt le format court qui m’empêche d’en faire des chroniques entières.

Sonata Arctica: The Ninth Hour

Après leur passage à Meyrin en août et un concert certes très sympa, mais garanti avec 0% de nouveaux morceaux, les Finlandais de Sonata Arctica nous revient sous la forme plus classique d’un nouvel album, intitulé The Ninth Hour.

Epica: The Holographic Principle

Epica revient avec The Holographic Principle et une question qui peut se résumer par « sera-t-il meilleur que le précédent? » Il faut dire que The Quantum Enigma avait placé la barre très très haut dans le style metal symphonique à grand spectacle.

Eleventh Hour: Memory Of A Lifetime Journey

Dans le metal symphonique, il y a ceux qui se la jouent un peu à minima et ceux qui y vont plein pot, quitte à en faire des tonnes. À en juger par leur premier album, Memory of a Lifetime Journey, les Italiens de Eleventh Hour – découverts grâce à Neoprog – sont plutôt dans la seconde catégorie.

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