Vous avez réussi à mettre la main sur une machine à voyager dans le temps ou vous vous préparez à embarquer avec le Docteur, direction l’Angleterre du XIVe siècle? The Time-Traveller’s Guide to Medieval England, de Ian Mortimer, sera votre livre de chevet.

Image originale par Chen Kai, sur DeviantArt.
(Bon, à première vue, ce n'est pas exactement le Palais de l'Élysée qui est représenté là, mais on va dire que c'est une vision d'artiste, okay?)
Paris, 15 juillet 1993 Au lendemain du coup d’État trotskyste qui voit Arlène Laiguiller prendre le pouvoir à Paris, le Palais de l’Élysée, partiellement incendié et laissé à l’abandon au milieu d’un champ de ruines. Image originale par Chen Kai,… Continue Reading →
Je ressors de la lecture de La Suisse romande, de Georges Andrey, avec une impression quelque peu mitigée: d’une part, j’ai appris énormément de choses en lisant cet ouvrage, qui se veut une histoire de cette « Romandie » où j’habite, mais, d’autre part, j’ai souvent été agacé par le style de l’auteur.
L’homme de l’année est une nouvelle série de bande dessinée signée Jean-Pierre Pécau et Fred Duval qui, après avoir beaucoup joué avec l’uchronie, s’attaquent ici à l’Histoire majuscule, mais par le biais de personnages de l’ombre.
Le titre complet de cette bande dessinée est « Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB« ; elle est signée Jacques Tardi, fils de. C’est un résumé et, dans le genre biographie qui décape, c’est du lourd!
Dans la nuit du 11 au 12 décembre 1602, un groupe de mercenaires milanais, emmené par des nobles du Duché de Savoie, tente de prendre d’assaut la cité de Genève, au cours d’une opération soigneusement préparée – qui part en sucette par pur débol. Et si ce que les Genevois fêtent aujourd’hui sous le nom d’Escalade avait réussi? C’est l’idée sur laquelle je suis parti pour écrire une « u-chronique » de Genève, capitale d’un Duché, puis d’un Royaume de Savoie qui se maintient jusqu’à nos jours.
Le 10 juin 1791, alors que les révolutionnaires marchent sur les Tuileries, la famille royale s’évade en montgolfière. Mais Louis XVI, blessé par une balle perdue, meurt peu après l’atterrissage et la reine Marie-Antoinette, devenue régente, lance la contre-offensive avec l’aide d’un jeune et ambitieux général corse. Tel est le point de départ du dernier volume de la série Jour J: La Nuit des Tuileries.
C’est avec une certaine méfiance que j’ai abordé Histoires magiques de l’Histoire de France, le second titre conseillé par Ghislain dans mon billet sur Le matin des magiciens, après un Les livres maudits quelque peu décevant. J’en ressors beaucoup plus enthousiaste.
J’aurais dû me méfier. J’ai cherché un peu partout, puis fini par trouver au détour d’un étal du marché aux puces, Les livres maudits, livre de Jacques Bergier que Ghislain m’avait vanté dans la foulée du Matin des magiciens.
Il faut vraiment que je sois un fanboy de Nicolas Bouvier pour qu’il me fasse acheter un bouquin qui parle de vanille! Au reste, Une orchidée qu’on appela vanille est somme toute une œuvre mineure de l’écrivain genevois, tant par sa longueur (une petite centaine de pages écrit gros) que par son contenu et qui est presque plus intéressant par son contexte et son histoire que par son contenu.
Je viens de terminer le deuxième tome de Et si la France avait continué la guerre?, la série de bouquins tirées du projet uchronique « 1940: la France continue« . Je rappelle en deux mots le principe: le 15 juin 1940, la France décide de continuer la guerre et organise un repli vers l’Afrique du Nord.
Un recueil de nouvelles d’auteurs français, parmi lesquels une tripotée d’auteurs de jeu de rôle, sur le thème de l’uchronie? Je dois tuer qui pour l’avoir? Au final, le processus s’est avéré un peu moins compliqué (et moins douteux d’un point de vue légal) et j’ai donc pu lire tranquillement U-Chroniques, ouvrage collectif publié par l’association ImaJn’ère.
Je dois vous faire un aveu: je n’avais jamais mis les pieds au château de Chillon jusqu’à aujourd’hui. Enfin, hier, au moment où je publierai ce message. Oui, ça a l’air très con, dit comme ça: j’habite à moins de cent bornes de ce qui est un des principaux monuments de Suisse romande et je ne l’avais jamais visité. Je blâme mes maîtresses d’école primaire.
Lorsque j’ai commencé le jeu de rôle, il y avait encore une Union soviétique, mais pas encore de jeux de rôles en français. Juste pour dire. C’était pendant l’été 1982, soit il y a très exactement trente ans. Putain, trente ans! Donc, trente ans et un passage de millénaire, qu’est devenu le noob mal dégrossi qui, un beau jour, a poussé la porte du CLIC, le Club du loisir intellectuel et créatif, sis à la Rue de Berne de Genève (quartier chaud s’il en est), dans une ancienne gendarmerie?
On va dire que j’insiste, que ça vire à l’obsession, mais c’est pas moi qui ai commencé: le blog rôliste Held Action vient d’en remettre une couche sur la réédition de l’intégralité des Suppressed Trasmission de Ken Hite avec l’article Free the Suppressed Transmissions, lui-même relancé par une énième conversation sur RPG.net.
Je rassure tout de suite les autres: il n’est pas nécessaire d’être genevois pour apprécier ce sympathique petit bouquin qu’est Mon dictionnaire de Genève, signé André Klopmann.
Howard Zinn est un historien américain – engagé, certes, mais historien quand même – et cette bande dessinée Une histoire populaire de l’empire américain est directement inspirée de son Histoire populaire des États-Unis.
Caucasian Adventures est un des plus jolis pieds de nez à une tendance détestable de la construction d’univers en général et son pendant rôlistique en particulier, j’ai nommé l’abus de stéréotypes
Si vous êtes un fan de Suppressed Transmission et de Ken Hite en général, vous allez adorer Things That Never Were, de Matthew Rossi. Ou le détester, c’est selon.
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