Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag électro

The Algorithm: Brute Force

Avec cette chronique, je commence un petit tout d’horizon de groupes que je vais voir à la fin de ce mois à Aarau pour un mini-festival prog, dont la tête d’affiche est Haken, mais qui inclut cinq autres groupes, dont The Algorithm, qui a sorti récemment un album intitulé Brute Force.

Gravitysays_i: Quantum Unkwown

J’admets: vous avez le droit de ricaner. Si Gravitysays_i ne gagne pas le pompon du nom de groupe de prog le plus prog, je ne sais pas ce qu’il faut! Cela dit, si je vous en cause, c’est surtout à cause de leur album, Quantum Unknown, dont le titre résume lui aussi assez bien le concept.

Overunit Machine: Aldaraja

Quand on écoute beaucoup d’albums, il vient fatalement un moment où on se dit que tel ou tel sous-genre a tendance à produire des quantités invraisemblables de morceaux identiques. C’est parfois mon cas avec le metal progressif, c’est pourquoi des curiosités comme ce Aldaraja, de Overunit Machine, apparaît comme un petit rayon de soleil – découvert grâce à Neoprog, d’ailleurs.

Riverside: Eye of the Soundscape

Eye of the Soundscape n’est pas un album de Riverside comme les autres, et c’est peu de le dire – même si beaucoup d’autres l’ont dit avant moi. Ceux qui ont suivi l’actualité du groupe ont appris le décès soudain de Piotr Grudziński, leur guitariste. Riverside, qui est un des pionniers du rock progressif contemporain, puisant ses inspirations aussi bien dans le metal que dans l’électro, livre ici un double CD qui tient plus du second que du premier.

65daysofstatic à Genève 

C’est l’automne, il fait froid, la semaine au bureau a été particulièrement intense et Twitter est en rade. Mais heureusement, le week-end s’annonce et, pour bien le commencer, il y a 65daysofstatic qui passe en concert à L’Usine! Le gros… Continue Reading →

Les restes du samedi: Jusska / Oceans of Slumber / The Kovenant

Bon, c’est les vacances, donc on mange léger et les restes du samedi sont, par conséquent, un poil brefs aussi: seul deux albums – deux EP, plutôt – à signaler: Jusska, et Oceans of Slumber. Ah, et un truc bizarre aussi, The Kovenant.

Danimal Cannon: Lunaria

Parce qu’il n’y a pas que le prog dans la vie, je vous présente Lunaria, de Danimal Cannon. Le nom est certes suffisamment absurde pour être celui d’un groupe de prog, mais il s’agit ici de chiptune-metal. Ou quelque chose dans le genre.

An Ordinary Vision: Ai

Un brin de post-rock, un soupçon d’électro, une pincée de metal… Ai, EP de An Ordinary Vision – alias Emanuele Viali, bassiste italienne – n’est pas du genre à y aller à la pelleteuse. C’est plutôt subtil et feutré. En apparence. Méfiez-vous des apparences!

Obsidian Kingdom: A Year with No Summer

Lors de ma chronique de leur précédent album, Mantiis, j’avais parlé d’Obsidian Kingdom comme d’un groupe capable d’incorporer à sa musique de multiples influences, du post-rock à l’électro, en passant par le death-metal. A Year with No Summer, leur nouvel album, confirme et amplifie cette tendance.

Frost*: Falling Satellites

Avec Frost*, j’ai appris à me méfier. Leur précédent album, Experiments in Mass Appeal, avait mis du temps avant de me convaincre et j’avais écrit ma chronique trop tôt. Pour Falling Satellites, leur dernier album, j’ai décidé de prendre mon temps et de lui consacrer une bonne dose d’écoutes. Ce qui s’est avéré une bonne idée.

Ozric Tentacles: Technicians of the Sacred

Hier, je vous parlais de Quantum Fantay, digne représentant de cette variante de space-rock qui touche au rock progressif. Il est à peu près impossible d’évoquer ce genre musical sans parler de Ozric Tentacles, à la fois dans le rôle du grand-père et du gorille de huit cents livres. Le hasard a voulu que, dans le même temps que j’achetais Dancing in Limbo, j’ai également acquis Technicians of the Sacred, leur nouvel album.

Dead Soul: In The Darkness/The Sheltering Sky

Or donc, il y a deux semaines, je faisais connaissance avec le duo électro-western suédois Dead Soul, qui passait en première partie de Ghost à L’Usine. Dans la foulée, j’achetais leurs deux albums, In the Darkness et The Sheltering Sky, principalement parce que leur musique me rappelle un de mes groupes préférés des années 1980: Wall of Voodoo.

 

Elyose: Ipso Facto

Quelque part, ce nouvel album d’Elyose, Ipso Facto, se présente sous le signe de l’occasion ratée: alors que le groupe parisien passe demain en concert à moins d’un kilomètre de chez moi, j’embarque ce matin dans le TGV pour Paris. Je chouine un peu, mais bon.

Manes: Be All End All

Il fut un temps où Manes était un groupe de black-metal norvégien; mais ça, c’était avant. Depuis quelques albums, le groupe se dirige vers des rivages bien plus improbables, comme le prouve ce Be All End All, dernier album en date du groupe, que l’on croyait pourtant défunt après Vilosophe, en 2003, et How the World Came to an End en 2007 (que j’ai manqué).

Locrian: Infinite Dissolution

Locrian est un duo originaire de Chicago, un de ces groupes sur lesquels on tombe un peu par hasard (OK, c’est grâce à Angry Metal Guy) et dont la musique – en l’occurence leur sixième album, Infinite Dissolution – qui vous laissent une impression étrange.

Arcturus: Arcturian

Dans le monde du métal progressif, il y a les clones de Dream Theater et il y a des groupes qui essayent de faire des choses vraiment originales. Arcturus est un groupe norvégien qui tombe dans la seconde catégorie, preuve en est Arcturian, leur dernier album en date.

Naïve: Altra

Ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux auront eu du mal à ne pas rater ces deux mots: Naïve et Altra. Ce n’est pas peu dire que je suis un mégafan du groupe toulousain et que l’annonce de ce nouvel album a engendré chez moi un surplus de décibels, de superlatifs et de salive.

Naïve: Remixes

Quand j’ai appris que Naïve avait sorti un nouvel album, j’ai fait des petits bonds partout. Heureusement, ce n’était pas au bureau; j’aurais eu l’air fin. Plus que d’habitude, s’entend. Quand je me suis aperçu que c’était un album de remix – d’ailleurs appelé Remixes – mon enthousiasme a été quelque peu douché.

 

Anathema: Distant Satellites

Plus ça va, plus je me dis que la récente carrière d’Anathema n’aura connu qu’un seul faux pas et ce n’est pas ce nouvel album, intitulé Distant Satellites, qui viendra me contredire. Cela dit, ce n’est pas non plus l’album de l’année, même s’il reste très plaisant.

Crematory: Antiserum

En fait, ça a l’air con, comme ça, mais métal et électro, quand c’est bien fait, ça va plutôt bien ensemble. Témoin Antiserum, le dernier album des Allemands de Crematory.

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