S’il fallait une mesure pour estimer la distance parcourue par le groupe anglais Anathema de ses débuts doom à aujourd’hui, le titre de leur nouvel album, The Optimist, serait un bon indice.
C’est via Progcritique que j’ai découvert Fall, deuxième album du groupe britannique Freedom to Glide, qui propose un néo-prog mélancolique et un concept sur la Deuxième Guerre mondiale, deuxième volet d’une trilogie commencée avec leur premier album, Rain.
Gazpacho est un groupe bizarre. Bon, OK, il y a le nom, mais pas que. Il y a aussi un amour pour les concepts bizarres et pour une musique lente, mais qui sait distiller des ambiances inquiétantes. Molok, leur dernier album en date, en est la preuve.
Alerte copinage: The Odd Gallant, projet de rock progressif, est le fait du musicien français Guillaume Cazenave, qui m’a contacté pour parler de AM. Ceci est donc une forme de service de presse et je suis du coup mal placé pour dire du mal de son premier album (sous ce nom de projet; son cinquième en tout). Ce qui tombe bien, parce que ce AM est objectivement plutôt bon.
Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste « excellent »?
Trente ans après les faits, la catastrophe de Chernobyl continue de marquer les esprits et les musiciens, puisqu’après The Taste of Wormwood de Philippe Luttun, c’est Steve Rothery qui propose un album sur ce thème, The Ghosts of Prypiat. Oui, ce Steve Rothery: le guitariste de Marillion. Et oui, c’est son premier album solo, curieusement.
Visiblement, Chernobyl est une influence marquante pour les artistes de rock progressif, avec notamment ce The Taste of Wormwood du multi-instrumentiste français Philippe Luttun, un concept-album sur la catastrophe elle-même (et un album solo de Steve Rothery, dont je vous parlerai plus tard).
Bon, qui parmi vous n’a pas deviné que Mirage – A Portrayal of Figures, kilométrique (mais néanmoins excellent) album du groupe allemand Flaming Row, est du rock progressif? Allez hop: au coin, ça vous apprendra!
Dans la série « que vais-je bien pouvoir dire de cet album? », aujourd’hui c’est au tour de Wanted, le dernier album du groupe allemand de néo-prog RPWL. Comme souvent, le problème est que l’album n’est pas assez mauvais pour que je le descende en flammes, pas assez moyen pour que je l’ignore et pas assez bon pour que je l’encense.
IQ m’impressionne. Plus de trente ans de carrière derrière eux, on pourrait croire que ces vétérans du néo-prog britannique auraient pu prendre leur retraite et voilà qu’ils nous pondent The Road of Bones, un double album d’une profondeur impressionnante.
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