Depuis le temps, vous devez connaître certains de mes réflexes pavloviens. Par exemple, il suffit de dire “bioshock” pour me voir faire comme Ian Fleming: des petits bonds partout. Du coup, l’annonce de la sortie de Bioshock Infinite sur Mac à la fin du mois passé a eu quelques effets délétères sur mon cerveau reptilien. Et sur mon compte en banque, aussi…
C’est brutal, une utopie qui ne veut pas mourir! Huit ans après la chute de Rapture, la cité sous-marine bâtie par Andrew Ryan pour appuyer ses thèses ultra-individualiste, Bioshock 2 nous renvoie dans cet univers rétro-futuriste déliquescent, cette fois dans la peau d’un Big Daddy, un de ces colosses en scaphandres accompagnées des Petites sœurs.
Je reviens sur mon billet sur le jeu vidéo Bioshock et, surtout, sur ce qui est à mon avis le personnage principal du jeu: la ville de Rapture.
Avant toute chose, je me dois de préciser que je parle ici du premier opus de Bioshock, le jeu vidéo de Feral Interactive de 2K Games. Je sais, ce n’est pas très nouveau, mais comme je ne suis pas du tout console et que Windows, je ne le tolère que sur mon lieu de travail (i.e. parce qu’on me paye), j’ai dû attendre qu’une version Mac sorte.
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