L’auto-édition sur CreateSpace

On-demand book printer

Comme vous l’avez peut-être lu sur le site d’en face, j’ai décidé de sauter le pas et de publier mes deux “romans”, Progressions et Erdorin, au format physique. Pour ce faire, j’ai eu recours à CreateSpace, un site américain qui propose de l’impression à la demande, à la suggestion d’une auteure suisse rencontrée récemment en librairie.

Les voleurs de libre

Le voleur de sens

Un des arguments qu’on oppose souvent à la notion de licence libre, c’est le côté “oui, mais si je ne protège pas mes créations, n’importe qui peut les prendre et les vendre en mon nom.” C’est vrai et ça arrive – et les quelques anecdotes récentes que je mentionne dans ce billet le prouvent – mais c’est moins grave que l’on pourrait le penser. Parce que voler quelque chose qui est disponible gratuitement, c’est quand même très con, quelque part.

Flattr: bilan pour juillet 2014

Cet article est le numéro 40 d'une série de 153 intitulée Bilans mécénat et création

Je me disais bien que ça ne pouvait pas durer: après deux mois exceptionnels, le bilan Flattr pour ce mois de juillet 2014 est de nouveau en léger déficit, avec €13.88 de revenus pour €15 de dons. Dans le même temps, je soupçonne qu’au vu de l’habituelle baisse de fréquentation des mois d’été, ce n’est pas très étonnant.

Amazon + Flattr = aFlattr (et c’est bien)

Je n’aime pas trop passer par Amazon pour acheter des choses, principalement parce que je préfère passer commande via les librairies locales, mais j’ai découvert, avec aFlattr, une motivation pour utiliser plus souvent ce service.

L’idée est en apparence simple (même si elle mériterait d’être mieux expliquée sur le site): aFlattr fait office de lien affilié pour tous vos achats sur Amazon, via un plug-in installé dans votre navigateur. Le principe des liens affiliés étant de verser une commission en cas d’achat, cela signifie qu’à chaque fois que vous passez commande, Amazon paye une commission à aFlattr, qui vous en reverse 90% sur votre compte Flattr.

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