C’est une fois encore sur la recommandation de Prog-résiste, le prozine belge qu’il est bien, que j’ai acquis l’album Sequitur de Fractal (attention: ce lien contient du MySpace). À lire la critique, je m’attendais à quelque chose d’un tantinet barré… Continue Reading →
Les mauvaises langues prétendront que la seule raison qui m’a poussé à acheter Geneva, le dernier album du trio post-rock Russian Circles, c’est un sentiment localo-nationaliste mal placé. Menteries pas vraies et erronées! J’ai également acheté le précédent, Station, mais il se trouve que celui-ci est le dernier en date.
Pour une surprise, c’est une excellente surprise que ce Tick Tock des Norvégiens de Gazpacho! Surprise, car leur précédent album, Night, avait été présenté comme un chef d’œuvre par beaucoup de critiques – sauf par moi, qui l’avais trouvé franchement… Continue Reading →
Amis musiciens de rock progressif, tendance néo-prog, je ne vous souhaite qu’une chose: que votre premier album sonne aussi bien que ce La Leggenda della Grande Porta, de VIII Strada! Certes, dans le cas de ce groupe italien, il y… Continue Reading →
C’est album n’était pas celui que je comptais acheter: je cherchais le nouvel album des Français de Minimum Vital (qui s’appelle Capitaines et que je compte bien chroniquer dès que j’aurais mis la main dessus), mais je suis tombé sur celui-ci, Atlas, qui manquait à ma collection.
Une des glorieuses habitudes du rock progressif, c’est l’échangisme musical et la création de « supergroupes » qui en résulte. C’est mieux que de maladies, même si le résultat n’est pas toujours souhaitable. Il y a une trentaine d’année, UK ou Asia… Continue Reading →
J’y suis enfin! Le NED de Montreux, salle phare du rock progressif en Suisse romande (donc équivalent, sur l’échelle des salles de concert rock, à un phare de vélo dans un univers de projecteurs de DCA), où se produit Lazuli! Un enthousiasme teinté de nostalgie, puisque, pour des raisons qui ont plus à voir avec le néolibéralisme débridé et la spéculation immobilière qu’à une politique culturelle digne de ce nom, la salle est menacée de fermeture.
Ce n’est pas sans une certaine appréhension que j’ai acheté le nouvel album des post-rockeux de Pelican, intitulé What We All Come To Need. Pelican est le groupe qui m’a réellement intéressé au genre post-rock; je connaissais déjà Isis, mais je ne crochais pas aux vocaux gutturaux, le style instrumental me convenait nettement mieux. L’appréhension venait du fait que, malgré une prestation impressionnante en concert, l’album précédent, City of Echoes, ne m’avait pas du tout convaincu.
C’est vrai, ça: depuis le temps que je vous en parle, les ceusses d’entre vous dont la culture musicale se situe quelque part entre Lorie et Motörhead se sont sans doute posé cette question. Alors certes, je pourrais vous diriger vers la définition de Wikipédia ou celle de Progarchives.com, mais, grâce à Julien (le musicien derrière le projet Spleen Arcana) via Twitter, j’ai une référence plus parlante pour votre édification: la page Progressive Rock de Cracked.com.
C’est grâce aux recommandations de Last.fm que j’ai découvert The American Dollar et je ne sais pas ce qui doit le plus le surprendre: la qualité de ce groupe naviguant entre post-rock et ambiante ou le fait que Last.fm ait réussi à me sortir une nouvelle vraie recommandation qui me plaise. À sa décharge, je suppose qu’il doit être difficile à ses algorithmes de faire le tri dans ma bibliothèque musicale entre rock progressif, métal symphonique, post-rock et autres trucs bizarres.
Mettons fin tout de suite au suspens: l’écoute du nouvel album de Lazuli, Réponse incongrue à l’inéluctable, est pour moi la confirmation de ce que je pensais depuis que j’avais vu ce groupe en concert sous un chapiteau au fin fond du Valais profond: c’est grand! Le doute venait principalement de la différence entre les albums – biens, certes, mais juste biens – et l’expérience en concert, énorme.
C’est une tendance, ces jours : Part the Second, album du groupe de rock progressif américain Maudlin of the Well, n’arrêtait pas de m’entrer par une oreille pour sortit par l’autre à chaque écoute. Il a fallu une séance au casque… Continue Reading →
Dans la série des signes qui tuent, il y a le fait qu’après plusieurs écoutes de Number Seven, le nouvel album de Phideaux, je ne savais pas trop quoi en dire, sinon des jeux de mots stupides du genre « c’est… Continue Reading →
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