Vous avez réussi à mettre la main sur une machine à voyager dans le temps ou vous vous préparez à embarquer avec le Docteur, direction l’Angleterre du XIVe siècle? The Time-Traveller’s Guide to Medieval England, de Ian Mortimer, sera votre livre de chevet.
Or donc, nous avons le dénommé Jean-Philippe Lasser, détective privé dans la bonne ville de Marselha, dans les années 1930. Engagé par une riche épouse pour prouver son cocufiage, ce brave homme s’aperçoit un peu tard que le mari volage est un ponte du crime organisé, du genre peu rigolard. Lasser n’a que le temps d’attraper l’ex-maîtresse du parrain, une danseuse égyptienne, pour s’enfuir vers le Caire. Voici les prémisses de ce premier tome des aventures de Lasser.
C’est François qui, le premier, avait évoqué sur son blog cet étrange recueil de nouvelles au titre non mois étrange: Comme un automate dément reprogrammé à la mi-temps, de Laurent Queyssi. Huit histoires bizarres, où les protagonistes jouent – souvent contre leur gré – avec la notion de réel.
On a marché sur… est la nouvelle anthologie du concours Plumes en Herbe parue aux éditions Voy'[el] et, cette fois-ci, il n’a pas été nécessaire de lâcher une Nathalouchka enragée pour me faire l’acheter. Je n’exclus pas un réflexe pavlovien, mais je ne regrette pas l’achat ni la lecture.
Ça y est, j’ai enfin acheté un bouquin de Roland C. Wagner qu’il a écrit sous son vrai nom! Enfin, bon: avec les 136 pages de Cette crédille qui nous ronge, je n’ai pas pris le plus gros, non plus. En même temps, si la qualité des bouquins se décidait au poids, ça se saurait et, en l’occurrence, celui-ci est un petit bijou.
Cadeau d’anniversaire inattendu mais très bien tombé, Jean Yanne à rebrousse-poil est un pavé biographique signé Bertrand Dicale qui explore la vie et la carrière d’un acteur si râleur qu’il aurait pu être genevois (il était en fait parisien, ce qui n’est pas beaucoup mieux).
Quelque part dans l’Empire khazar, au Xe siècle de notre ère, deux aventuriers enchaînent les arnaques pour survivre, mais, dans Gentlemen of the Road, de Michael Chabon, le duo va se retrouver impliqué dans une épopée à base de trahison, d’usurpation, de prince et de princesse, d’honneur et d’éléphants.
Il y a deux raisons qui m’ont poussé à lire Storytelling, de Christian Salmon: d’abord et surtout de bons retours (mais je ne sais plus de qui; peut-être Un lecteur?) et, ensuite, un titre qui me titille quelque part la fibre rôliste.
Il m’a fallu du temps pour m’attaquer à la lecture de Gagner la guerre, de Jean-Philippe Jaworski. D’abord parce que c’est de la fantasy, qui est loin d’être mon genre préféré (quelque part entre les histoires de vampires et les bilans comptables) et d’autre part parce que c’est un sacré pavé. Le terminer a été beaucoup plus rapide, malgré sa taille.
Cleer, c’est une marque, une entreprise, une philosophie, « Be yourself »; une secte, peut-être. Cleer, c’est un roman de Laurent « L.L. » Kloetzer qui plonge dans cet étrange univers, aux confins du cyberpunk et du fantastique, avec un fond d’enquête-aventure et un soupçon de Dilbert.
Je ressors de la lecture de La Suisse romande, de Georges Andrey, avec une impression quelque peu mitigée: d’une part, j’ai appris énormément de choses en lisant cet ouvrage, qui se veut une histoire de cette « Romandie » où j’habite, mais, d’autre part, j’ai souvent été agacé par le style de l’auteur.
Je vous dirais bien que The Last Colony est le dernier volume de la trilogie « coloniale » de John Scalzi, débutée par Old Man’s War et poursuivie par The Ghost Brigades, mais ce ne serait pas complètement exact. Il manque encore à l’appel Zoë’s Tale, qui est un point de vue un peu différent de ce qui se passe dans The Last Colony et, qui plus est, il existe d’autres ouvrages dans le même univers; cela dit, pour ce qui est de la trame de l’histoire, ces trois ouvrages précités tiennent assez bien la route dans le format trilogie.
Dans la foulée de Old Man’s War, j’ai attaqué sa suite The Ghost Brigades, également signé John Scalzi (et, l’ayant terminé, je me suis d’ailleurs lancé sur le suivant, The Last Colony. Encore que « suite » n’est pas le meilleur terme: certes, l’univers est le même et, chronologiquement, il se situe après les évènements de Old Man’s War, mais on ne retrouve que le lieutenant Jane Sagan des Forces spéciales – et encore, pas de façon principale.
Évidemment, le hasard a voulu que j’aie une crève carabinée au moment où j’ai fini Bad Pharma, le nouveau bouquin de Ben Goldacre – à qui on devait déjà le remarquable Bad Science. La conclusion qui s’impose, c’est qu’être malade, ce n’est pas bon pour la santé!
Old Man’s War, le premier roman de John Scalzi, c’est de la science-fiction militaire dans un contexte de space-opéra, avec une différence majeure: le héros, John Perry, s’engage dans les Forces de défense coloniales à l’âge de septante-cinq ans.
Cet hiver, j’ai enfin pu combler une lacune dans ma culture SF en (re)lisant l’intégrale de la série des Lensman, signée Edward Elmer Smith (plus connu sous le nom de « Doc Smith »). Lacune d’autant plus frustrante que j’en avais lu les trois premiers en français il y a très longtemps, parus dans une collection qui atteint aujourd’hui des sommets de rareté et dont je n’avais jamais pu trouver la suite.
Ces derniers temps, suite à quelques voyages et, plus récemment, une rencontre malencontreuse avec une portière de voiture, je pratique beaucoup les transports en commun. Point positif: ça me laisse du temps pour lire (parce que bouquiner à vélo, c’est moyen pratique) et, du coup, j’enquille les bouquins à la chaîne. Dernier en date: Points chauds, de Laurent Genefort.
Comme je l’avais prédit vendredi, il ne m’a pas fallu longtemps pour finir Pirate Cinema, le dernier bouquin de Cory Doctorow. Enfin, dernier, c’est vite dit: il en a publié tellement ces derniers temps que j’ai un peu perdu le compte. Toujours est-il que Pirate Cinema est le plus récent de ces bouquins « jeune adulte » dans la lignée de Little Brother ou For The Win.
Je suis en train de lire un des derniers bouquins de Cory Doctorow, Pirate Cinema. Fiction? Paf! Mes flux RSS me crachent des exemples encore plus absurdes!
Si vous voulez de la science-fiction exotique, pas besoin de faire des milliers d’années-lumière ou des milliers d’années tout court: il suffit de se plonger dans The Windup Girl, le roman de l’Américain Paolo Bacigalupi, qui se déroule dans une Thaïlande de l’après-pétrole.
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