Le quatrième et dernier tome de la série Warship Jolly Roger s’intitule « Dernières volontés » est, une fois encore, à l’image de son titre. On arrive au bout de cette histoire de vengeance, il va y avoir des morts et ça ne va pas être propre.
Les extra-terrestres sont venus, une fédération stellaire de plusieurs peuples, pacifique et bienveillante. Ils ont proposé que la Terre rejoigne cette fédération après un simple test. Sauf que les Terriens ont échoué à ce test. C’est le contexte que propose ce premier tome de Fédération, scénarisé par Ange avec Alain Janolle au dessin.
Moi, vous me connaissez? Je suis fan de San-Antonio depuis des temps immémoriaux – comme le prouve d’ailleurs cette introduction. Du coup, quand on m’annonce une adaptation en bande dessinée de San-Antonio chez les Gones, un des romans de la… Continue Reading →
Ces derniers temps, la série de bande dessinée uchronique Jour J a décidé de jouer la carte des épisodes. Après le triptyque Omega, cette nouvelle série, également en trois parties, s’intitule Le Prince des Ténèbres. Son premier tome annonce la couleur: les fêtes de la nouvelle année 2005 à New York avec, bien visibles, les tours jumelles du World Trade Center.
Dans le monde de Soleil froid, la Grande Peste – une variante de la grippe aviaire – a tué près de 90% de la population. Un ancien soldat d’élite arpente les ruines du monde ancien à la recherche de réponses – et peut-être d’un espoir.
Valérian et Laureline, agents spatio-temporels, s’apprêtent à arrêter un androïde soupçonné de fraude fiscale, quand apparaissent successivement un thon quantique, des Shingouz paniqués dans un vaisseau pourri et Monsieur Albert, très fâché, dans une 4L à propulsion hyperluminique. C’est ainsi que commence Shingouzlooz Inc., le nouvel album de la collection Valérian vu par…
Il y a quelques années, je vous avais parlé de la BD américaine signée Brian Wood, The Massive, une sorte de post-apo climatique qui suivait les membres de Ninth Wave, une organisation environnementale, à la recherche de leur vaisseau-amiral dans un monde ravagé par les changements climatiques.
Jack Wolfgang est un critique littéraire renommé, dont les articles paraissent dans le Times et le New Yorker. Le voici dans un bar, occupé à séduire fille d’un magnat de l’agro-alimentaire, dans le cadre de son autre travail: agent de la CIA. Ah, et Jack Wolfgang est un loup.
Attention, le titre de cette BD contient un spoiler: le grand Zorglub aurait une fille, La Fille du Z! Elle s’appelle Zandra, elle a seize ans, elle aime les films débiles, la littérature, elle a un petit copain – et donc un père Génie du Mal et quelque peu protecteur.
En fouillant dans mes archives, je m’aperçois que je ne vous ai jamais parlé de cet excellent webcomic qu’est Sinfest. J’ai dû le mentionner sur mon ancien site, Alias dedans, mais c’est vieux de chez vieux et ça mérite une vraie chronique.
Visiblement, les récits d’anticipation à cinquante ans dans l’avenir sont à la mode. En même temps, ce n’est pas très étonnant. Après Walkaway, voici une bande dessinée française, Résilience, dont le premier tome, Les terres mortes, vient de sortir.
En l’an 48 avant notre ère, Brutus vient rendre visite à son père adoptif, l’ancien général Caius Julius Caesar, devenu aveugle après avoir reconquis la Sicile contre les esclaves en fuite de Spartacus. La visite n’a rien d’anecdotique: les armées de Cléopâtre marchent sur Rome. Faisant suite de La République des Esclaves, L’Aigle et le Cobra est le vingt-huitième tome de la collection Jour J qui traite d’uchronies en bande dessinées.
Lorsque j’ai ramassé le premier tome de Injection chez mon nouveau fourgue habituel en matière de comics US – Tanigami, vu que le Paradoxe Perdu a défuncté – je dois dire que je ne m’attendais à pas grand-chose. Certes, il y a Warren Ellis au scénario – raison pour laquelle je l’ai pris, d’ailleurs – mais ce dernier n’est pas toujours une valeur sûre.
C’est une petite bande dessinée qui a fait le buzz ces temps-ci: Imbattable, paru dans Spirou, vient de sortir en premier album, avec un titre éloquent: Justice et légumes frais, sous la plume et les crayons de Pascal Jousselin.
À bord du paquebot Infinity, en partance pour la galaxie d’Andromède, la vie se déroule paisiblement, jusqu’à ce que le vaisseau spatial rencontre un immense champ de débris. C’est le point de départ de huit histoires, d’où son titre: Infinity 8.
Iskander était un janissaire, un esclave-soldat au service des Turcs, jusqu’à ce qu’il s’évade, en compagnie d’un prince valache, un certain Vlad. C’est le point de départ des Ombres de Constantinople, le dernier tome en date de la série uchronique Jour J, avec toujours Jean-Pierre Pécau à la manœuvre.
Tout commence par le massacre d’enfants dans un petit village en Suède, la nuit de Walpurgis. Martin Gudesønn, capitaine de la police de Stockholm, enquête et ne tarde pas à se rendre compte que certaines personnes au sommet de l’État pourraient être derrière ce massacre et que, comme il y a un survivant, elles pourraient bien ne pas s’arrêter là.
Je devrais me réjouir que ce cinquième « épisode » de la bande dessinée Mermaid Project conclue le cycle. Au lieu de ça, je me retrouve quelque peu déçu après la lecture de ce dernier tome. Lors de ma chronique de l’épisode précédent, j’espérais pour celui une conclusion et des réponses, mais au final, si ce tome boucle en effet l’affaire en cours, il ne le fait que de façon peu satisfaisante.
Bon, j’étais parti pour vous écrire une note sur Implosion, ce septième tome de Orbital, bande dessinée de science-fiction signé Pellé (dessin) et Runberg (dessin), dans la foulée des tomes précédents. Or, en consultant mes archives, je m’aperçois que je n’ai chroniqué que les deux premières « missions », à savoir les tomes un à quatre de la série.
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