J’ai quelque peu poussé les feux pour le montage de ce nouvel épisode ordinaire de Radio-Erdorin, avec les chroniques de septembre 2025. Il est en ligne, sur YouTube et Peertube, avec dix albums, deux concerts et un livre, rien que ça!
En effet, j’ai dû caler cet épisode entre le CrabCore Fest (et son live-report) et OctoGônes, qui a lieu ce week-end. Ça n’a pas été trop le stress, mais un peu quand même.
En fait, ça m’a fait réaliser un défaut à l’utilisation d’un prompteur. Je l’ai souvent dit, le prompteur, quand on crée des vidéos face caméra, ça change la vie. Avant, j’avais mon script sur un ordi hors champ et je lisais, paragraphe par paragraphe, voire phrase par phrase. Ça faisait un montage très haché et pas très élégant.
Le truc, c’est que le prompteur n’est pas une arme absolue non plus: vous vous êtes sans doute aperçu qu’il y a quand même des coupures pas très naturelles. Ça peut se camoufler avec des zooms, mais ce n’est pas toujours pratique, ni très élégant.
Et le souci que j’ai, c’est que s’il y a une faute d’orthographe ou une erreur dans le script qui défile, mon cerveau bloque dessus. De façon plus générale, j’ai du mal à improviser sur le script et, des fois, c’est un peu obligatoire, parce qu’il y a des erreurs ou des questions de styles (par exemple, des répétitions) qui requièrent des changements à la volée.
Après, pour être très franc, pour bien faire, je devrais aussi reprendre toute la section dans laquelle j’ai fait une erreur, pas juste la phrase ou le paragraphe. C’est surtout une question de flemme: après plus d’une demi-heure d’enregistrement, on a envie que ça se finisse vite.
Bon, j’ai conscience que toutes ces discussions techniques, ça fait un peu « problème de riche » – pas tout le monde peut (ou veut) se payer un prompteur, mais je reste persuadé que ça en vaut la peine quand on fait beaucoup de vidéos face caméra un tant soit peu structurées. Mais faut bien que je fasse de la valeur ajoutée plutôt que de juste vous annoncer que les épisodes sont en ligne (ce que vous savez sans doute si vous êtes abonnés à la chaîne).
Et d’ailleurs, comme annoncé en intro, l’épisode est en ligne, sur YouTube et sur Peertube.


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