J’inaugure ici une nouvelle rubrique, de parution probablement très irrégulière, puisque ça parle de ce que j’ai écouté (ou lu, ou regardé, mais cet épisode concerne seulement la musique), mais que je n’ai pas chroniqué, faute d’intérêt.
La semaine passée, une information m’a fait tiquer: la Chine populaire annonçait vouloir mettre en place un « score citoyen« . Sous ce terme se cache l’idée d’un classement de ses habitants, en utilisant notamment leur activité sur les réseaux sociaux autorisés.
C’est curieux, les impressions: j’écoutais Love, Fear and the Time Machine, le dernier album de Riverside, sur mes écouteurs à la caf’ du bureau et, soudainement, j’avais l’impression d’avoir Mariusz Duda et sa bande à la même table que moi. Un peu comme si je retrouvais des vieux amis et qu’on déconnait ensemble du dernier épisode de Doctor Who.
Je précise tout de suite que Elder et son troisième album, Lore, m’ont été recommandés par quelqu’un, mais je ne me souviens plus qui. L’argument étant « j’ai lu tes chroniques musicales (« ah, c’était toi? ») et à mon avis, ça devrait te plaire. » Pour reprendre une expression entendue récemment, disons que je ne déteste pas.
Je m’en doutais un peu et les chiffres le confirment: l’embellie du mois précédent était un peu trop belle pour être vraie et le bilan de ce mois de septembre sur Flattr s’établit à €8.81 de gains pour une activité de 17 clics sur 12 objets. Et, quand en regardant les détails, je note surtout que le nombre de donateurs est très bas, cinq en tout ce qui explique en partie le résultat.
C’est via le blog S.I.Lex de Lionel « Calimaq » Maurel que j’ai découvert le magnifique texte d’Olivier Ertzscheid, paru sur son blog affordance.info et intitulé Chère Anne Frank. Plus qu’un simple texte, c’est une initiative qui met en lumière un des aspects les plus foireux des actuelles lois sur le droit d’auteur.
Coup-fourrés, assassinat, trahison, poursuites et fusillades: Romane et El Malik, toujours à Rio de Janeiro, passent à l’offensive, non sans y laisser des plumes. Ce quatrième tome de la bande dessinée d’anticipation Mermaid Project est résolument tourné vers l’action. Peut-être un peu trop, mais en même temps, on sent qu’on approche de la conclusion de la série.
Moitié science-fiction, moitié post-apo, la série américaine Defiance nous est donc revenue pour une troisième saison – qui pourrait bien également être la dernière. Fondamentalement, si vous pensiez, à la fin de la saison précédente, que les personnages étaient dans la merde, vous n’avez rien vu!
Après quelques écoutes de Meliora, dernier album en date du groupe mystérieux, mais néanmoins suédois Ghost, j’avais dit qu’il s’agissait d’un groupe de black-metal essayant de faire du prog, ou le contraire. En fait, Ghost est plus proche du « shock rock » des années 1970, dans l’esprit ainsi que dans le style.
Pour les rôlistes européens, s’il doit y avoir une grande convention francophone de l’automne, c’est certainement OctoGônes, sis dans la capitale des Gaules – autrement dit, Lyon. Pour cette nouvelle édition, l’événement a quitté l’Espace Tête d’Or, devenu trop étroit, pour investir une nouvelle salle: l’Espace Double Mixte, sur le campus universitaire de Villeurbanne.
Jim est un de ces héros – pardon, « protagoniste » – de roman qui n’a pas de bol. Genre, il meurt avant le premier chapitre de ce Mogworld, signé par Ben « Yahtzee » Croshaw. Je vous rassure, il revient ensuite; je dirais bien « il meurt, mais après il va mieux », sauf que, de son point de vue, ce n’est pas mieux. Il n’a même qu’une envie: mourir définitivement.
Ceux qui lisent ce blog depuis un moment risquent, à la lecture du titre, de se demander si leur tonton Alias préféré (car unique) a finalement sombré dans l’Alzheimer profond et commencé à rechroniquer ses vieux billets. Rassurez-vous, ce titre – 1940 – Et si la France avait continué la guerre? – s’applique à la nouvelle bande dessinée uchronique de Jean-Pierre Pécau, inspirée par la fameuse Fantasque Time Line, dont le premier tome vient de sortir.
DivinaSion n’est pas une grosse convention. Ce n’est pas un de ces raouts majeurs qui rallient un bataillon de joueurs et de professionnels, mais c’est une des conventions auxquelles j’aime bien aller, d’abord parce qu’elle titille ma fibre valaisanne et ensuite parce que j’y retrouve plein de copains.
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