Qui, dans la jungle bolivienne, a tué Ernesto « Che » Guevara, un beau jour de 1967? Ce quatrième tome de la série de bande dessinée L’homme de l’année tente de répondre à cette question à travers un angle très intéressant: celle d’une légende à la hauteur de celle du révolutionnaire argentin.
J’avoue: c’est moi qui ai tué Internet. Oh, bien sûr, pas tout seul et pas volontairement, mais, objectivement, c’est ma responsabilité. La raison de cet aveu est à trouver dans un récent article de Slate, édition française, intitulé Notre Mai-68 numérique est devenu un grille-pain fasciste.
Si vous avez lu mes billets sur Wunderwaffen, la série de bande dessinée uchronique qui part sur la postulat d’un sursaut allemand pendant la Seconde Guerre mondiale grâce à ses « armes secrètes », vous savez que je suis quelque peu réservé à son égard. Pourtant, ce quatrième tome marque un tournant que j’espère positif.
C’est en lisant une chronique parue sur le site Neoprog.eu que j’ai acquis Abyssal, le tout récent album du groupe de rock progressif français Gambit. J’étais pourtant dubitatif, mais le chroniqueur était suffisamment enthousiaste et la vidéo qui accompagnait l’article était suffisamment intéressante pour que je passe outre.
Quatrième tome en date de la série steampunk « Clockwork Century » de Cherie Priest (le dernier, Fiddlehead, vient de sortir), The Inexplicables nous ramène sur les lieux du premier roman, Boneshaker: Seattle, sa cité emmurée, son gaz mortel et ses zombies.
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