Je vous dirais bien que The Last Colony est le dernier volume de la trilogie « coloniale » de John Scalzi, débutée par Old Man’s War et poursuivie par The Ghost Brigades, mais ce ne serait pas complètement exact. Il manque encore à l’appel Zoë’s Tale, qui est un point de vue un peu différent de ce qui se passe dans The Last Colony et, qui plus est, il existe d’autres ouvrages dans le même univers; cela dit, pour ce qui est de la trame de l’histoire, ces trois ouvrages précités tiennent assez bien la route dans le format trilogie.
Depuis le temps que je répète à qui veut l’entendre (et aussi à un certain nombre de gens qui ne veulent pas) que Riverside est probablement ce qui est arrivé de mieux au rock progressif ces dix dernières années, c’est peu de dire que j’attendais l’arrivée de ce nouvel album, Shrine of New Generation Slaves (SONGS, pour faire court; et oui, c’est voulu) avec une certaine impatience. Ou appréhension.
Dans la foulée de Old Man’s War, j’ai attaqué sa suite The Ghost Brigades, également signé John Scalzi (et, l’ayant terminé, je me suis d’ailleurs lancé sur le suivant, The Last Colony. Encore que « suite » n’est pas le meilleur terme: certes, l’univers est le même et, chronologiquement, il se situe après les évènements de Old Man’s War, mais on ne retrouve que le lieutenant Jane Sagan des Forces spéciales – et encore, pas de façon principale.
Aux Portes de l’Enfer est donc la suite du premier Wunderwaffen, la série de bande dessinée uchronique à base d’air-porn quelque peu honteux (pour cause de croix gammée). J’en parle ainsi parce que, malgré une idée de départ assez intéressante (l’Allemagne nazie parvient à tenir tête aux Alliés grâce à ses armes secrètes), j’ai un peu l’impression que ça s’essouffle.
Ces temps-ci, la blague-qui-ne-fait-pas-rire, c’est le fameux « je ne suis pas homophobe, mais… » suivi en général d’une sortie homophobe, du genre « les pédés, c’est pas des gens comme nous ». Moi, c’est le contraire: je suis homophobe, mais je ne vois pas pourquoi des questions de préférence sexuelle ou même de genre devraient être une excuse pour nier une égalité en droit.
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