Une des glorieuses habitudes du rock progressif, c’est l’échangisme musical et la création de « supergroupes » qui en résulte. C’est mieux que de maladies, même si le résultat n’est pas toujours souhaitable. Il y a une trentaine d’année, UK ou Asia… Continue Reading →
J’y suis enfin! Le NED de Montreux, salle phare du rock progressif en Suisse romande (donc équivalent, sur l’échelle des salles de concert rock, à un phare de vélo dans un univers de projecteurs de DCA), où se produit Lazuli! Un enthousiasme teinté de nostalgie, puisque, pour des raisons qui ont plus à voir avec le néolibéralisme débridé et la spéculation immobilière qu’à une politique culturelle digne de ce nom, la salle est menacée de fermeture.
Ce n’est pas sans une certaine appréhension que j’ai acheté le nouvel album des post-rockeux de Pelican, intitulé What We All Come To Need. Pelican est le groupe qui m’a réellement intéressé au genre post-rock; je connaissais déjà Isis, mais je ne crochais pas aux vocaux gutturaux, le style instrumental me convenait nettement mieux. L’appréhension venait du fait que, malgré une prestation impressionnante en concert, l’album précédent, City of Echoes, ne m’avait pas du tout convaincu.
C’est vrai, ça: depuis le temps que je vous en parle, les ceusses d’entre vous dont la culture musicale se situe quelque part entre Lorie et Motörhead se sont sans doute posé cette question. Alors certes, je pourrais vous diriger vers la définition de Wikipédia ou celle de Progarchives.com, mais, grâce à Julien (le musicien derrière le projet Spleen Arcana) via Twitter, j’ai une référence plus parlante pour votre édification: la page Progressive Rock de Cracked.com.
Si ma chère et tendre n’avait pas passé son temps à hurler de rire en lisant Rats, Bats and Vats (et sa suite, The Rats, The Bats and The Ugly), il est fort possible que je sois complètement passé à… Continue Reading →
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