Gorgon: Elegy
Dans la série des groupes qui m’avaient impressionné précédemment, les Français de Gorgon reviennent – après Titanomachy – avec une nouvelle galette impressionnante de death symphonique, simplement intitulée Elegy.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Dans la série des groupes qui m’avaient impressionné précédemment, les Français de Gorgon reviennent – après Titanomachy – avec une nouvelle galette impressionnante de death symphonique, simplement intitulée Elegy.
Depuis le temps, vous devriez connaître mes petites lubies: quand on me recommande un album, j’ai tendance à acheter d’abord et écouter ensuite. J’avoue, ce n’est pas toujours une stratégie gagnante, mais dans le cas de Titanomachy, de Gorgon, ça s’est avéré être une plutôt bonne idée. Pour le coup, la recommandation ne vient pas de Fred Bezies – même s’il en a aussi parlé – mais d’un des lecteurs du blog, Alopex.