Il faut vraiment que je sois un fanboy de Nicolas Bouvier pour qu’il me fasse acheter un bouquin qui parle de vanille! Au reste, Une orchidée qu’on appela vanille est somme toute une œuvre mineure de l’écrivain genevois, tant par sa longueur (une petite centaine de pages écrit gros) que par son contenu et qui est presque plus intéressant par son contexte et son histoire que par son contenu.
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