Lost in Kiev: Rupture
Un peu moins d’un mois s’étant passé depuis le concert, je peux donc aborder Rupture, le nouvel album de Lost in Kiev, avec le recul nécessaire.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Un peu moins d’un mois s’étant passé depuis le concert, je peux donc aborder Rupture, le nouvel album de Lost in Kiev, avec le recul nécessaire.
C’est un peu vexant de s’intéresser à la scène musicale du cru et apprendre par Angry Metal Guy l’existence de De Sève et de Sang, premier album de Félonie.
En musique, j’aime le contraste entre passages brutaux et mélodiques. Ici, ce contraste se retrouve entre le groupe, Deadly Carnage et l’album Endless Blue.
Quand L’Usine de Genève annonce du post-rock, je dresse l’oreille. Surtout quand il s’agit de The Ocean, This Will Destroy You et Lost in Kiev.
Mairu, avec son premier album Sol Cultus, est un groupe qui implique des mots-clés tels que “Cult of Luna”, “progressif” et “black-metal atmosphérique”.
C’est satisfaisant à tomber sur un groupe chroniqué et qui évolue dans le bon sens. C’est le cas ici avec Obsidian Tide, qui revient avec The Grand Crescendo.
Je ne sais pas à quoi carburent Arnaud Quevedo et ses potes, mais ce 2nd Life est le troisième album en autant d’années pour Arnaud Quevedo & Friends.
Du neuf, du vieux, du long, du court, du bon et du moins bon: ce sont les Restes du Samedi, avec Magma, Yes et Septénaire.
Continuons notre séquence death-metal mélodique, avec At Storm’s Edge, du groupe Aetherian, une formation découverte grâce à Angry Metal Guy.
Avec Afterworld, le nouvel album de Carcariass, j’inaugure une séquence de chroniques dans le genre death/black. Mélodique, certes, mais pas calmes.
Ma réaction lors de l’annonce de Tiktaalika, album solo de Charlie Griffiths, a été peu enthousiaste, je l’avoue. Mais heureusement, je me suis rattrapé.
J’ai beau être un prog-head depuis plus de quarante ans, je tombe aussi régulièrement sur des albums comme ce Bloodlines de Pyramaze, que je surkiffe.
Un groupe de cybermetal suisse qui commence par un S? Ce n’est pas Sybreed, ni même Samael, mais Sovereign, qui vient de sortir un album intitulé Rewired.
Parmi mes nombreuses lubies, il y a le metal symphonique à voix féminine, comme dans ce Twelve Daemons, le nouvel album d’Alwaid.
Il a fallu une chronique de l’ami JC pour que je me réintéresse à Aisles pour son nouvel album, Beyond Drama, presque dix ans après avoir chroniqué 4:45.
Maserati est un des premiers groupes de post-rock que j’ai connu et ils sont revenus en 2020 avec un nouvel album, Enter the Mirror.
Le metal est un genre fractal. Mais il y a aussi des groupes qui vont droit à l’essentiel comme Evermore, dont voici le deuxième album, In Memoriam.
Where Mermaids Drown. J’avoue que le nom de ce groupe – là où se noient les sirènes – est pour beaucoup dans mon choix d’écouter cet album, Reminisce.
Stömb fait partie de mes groupes préférés. Du coup, l’annonce de leur nouvel album, Massive Disturbed Meta Art a généré en moi un émoi certain.
Chronique un peu inhabituelle: Ridge and Furrow est un EP de Dark Forest, groupe de heavy-metal un peu rétro, recommandé par Metal on Metal.