Formicapunk (Boulet: Notes 7)

Cruel dilemme, épisode N+1 : soit je vous parle des choses que je n’aime pas dans Formicapunk, le septième tome des Notes de Boulet, et je fais le billet le plus court de l’histoire de ce blog, soit je vous en dis tout le bien que j’en pense et je répète à l’envi les articles précédents.

Ce nouveau volume couvre une année, entre juillet 2010 et juillet 2011, de son blog-BD avec, comme fil rouge, la question des univers parallèles. À la sauce Boulet, bien entendu: l’homme qui met le doigt sur les absurdités des trucs à la mode, de préférence si c’est geek.

Genre, pourquoi le steampunk est un genre qui n’a pas vraiment été pensé avec un aspect pratique à l’esprit. Sans même parler du “formicapunk” qui donne son nom à ce tome, basé sur la technologie des années 1970-1980.

Mais les Notes de Boulet, c’est aussi une série de saynètes souvent hilarantes, comme les produits pour nous, les hommes, ou la psychologie à l’aide de son moi intérieur (qui est un gros connard), ou les horoscopes à base de tableau périodique des éléments. Il y en a pour 180 pages et c’est de la bonne.

Bon, en même temps, Boulet, c’est un peu sans surprise, de ce point de vue. D’ailleurs, ça faisait un moment que je n’avais pas chroniqué un de ses albums, un peu à cause de ça: c’est du Boulet, c’est très bien, mais c’est comme d’habitude. Bon, après, ça nous change des auteurs qui nous pondent systématiquement des bouses infâmes.

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4 réflexions au sujet de “Formicapunk (Boulet: Notes 7)”

  1. Deuxième petite limite à la rigueur si on cherche la petite bête : pas d’inédit par rapport au blog.

    Mais c’est vraiment histoire de râler, parce que c’est toujours très bon. 🙂

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    • Ah, si: il y a toujours les histoires intercalaires qui sont originales. Genre, les explications sur l’absurdité du pratique du steampunk est inédite, à ma connaissance.

      Par contre, je regrette l’absence du strip sur le film “Popeye” réalisé pendant les 24 heures de la bédé, qui était épique.

      Répondre

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